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CyrilBouissou, lui, a choisi Rocket School, après une expérience avortée en école de commerce et une aventure entrepreneuriale. Douze semaines de cours et douze mois d'alternance plus tard, l'entreprise où il effectue son apprentissage le recrute en CDI : « L'école a été une passerelle.Si j'avais postulé pour un poste de commercial junior sans
Entreren école de commerce après la fac : les avantages Une approche pédagogique axée sur les savoir-faire et savoir-être . Contrairement à l’université qui se cantonne à des cours
LINSEEC est une école de commerce en Management qui délivre 4 types de programmes : BBA (Bac à Bac +4), Bachelor (Bac à Bac +3), Grande Ecole (Bac +3 à BAC +5) et MSc&MBA (Bac + 4 à Bac +5). Etudiants en parcours classique, ou professionnels en reconversion, tous les apprenants peuvent trouver une formation à l’INSEEC qui
Equivalenceprépa ECS - fac de droit par 4MeadEver » 10/06/2015 13:16 0 Réponses 1863 Vus Dernier message par 4MeadEver 10/06/2015 13:16 Questions et
Écolede référence dans les domaines de la culture, du marché de l’art et du luxe, l’EAC incarne le projet fort d’être le lieu où chaque étudiant va faire de sa passion un métier.Tout au long du parcours de formation et quel que soit le choix de sa filière, un étudiant à l’EAC sera imprégné des valeurs et des codes qu’ont en commun la culture, le marché de l’art et
Site De Rencontre Pour Geek Quebec. Une fois admis en licence de gestion à l’IAE Institut d’administration des entreprises Gustave Eiffel des universités Paris-Est Créteil et Marne-la-Vallée, tout s’est enchaîné très vite pour Rayan Bouadla, 25 ans. Non seulement il a pu entrer dans le très coté master gestion de patrimoine, mais grâce au réseau de l’établissement, il a signé un contrat d’apprentissage à BNP Paribas Banque privée, rémunéré euros par mois. Expérience qui a débouché sur un CDI avant même l’obtention de son diplôme. "J’avais hésité à faire une école de commerce après mon DUT, mais c’était compliqué financièrement. Au final, je n’ai aucun regret. L’IAE m’a coûté 300 euros par an de frais d’inscription pour le même niveau d’encadrement, avec des enseignants de qualité et beaucoup d’intervenants extérieurs. Cela m’a également évité de commencer ma carrière avec un prêt sur le dos", explique le jeune homme. Et ce n’est pas fini. Diplômé fin 2013, Rayan Bouadla s’apprête déjà à prendre du galon au sein de son entreprise. Liens forts avec les entreprises Loin d’être une exception, voilà le genre de parcours qu’offrent les plus efficaces des masters d’économie- gestion. Nombre d’entre eux sont proposés par les IAE, véritables business schools publiques. Il faut dire que ces établissements - il en existe une trentaine - ont de quoi séduire familles et recruteurs. "Nos étudiants n’ont rien à envier à ceux des grandes écoles, et l’IAE est un établissement à taille humaine où les professeurs connaissent très bien leurs élèves", aime ainsi à rappeler Virginie de Barnier, directrice de celui d’Aix-Marseille. Ainsi, comme dans les grands des écoles, l’enseignement est très axé sur les besoins des entreprises, avec lesquelles des partenariats sont noués pour bâtir des cursus en lien avec leurs attentes et faciliter l’insertion professionnelle des élèves. Par exemple, le master Hospitality Revenue Management de l’IAE Savoie Mont-Blanc travaille en étroite collaboration avec le leader de l’hôtellerie AccorHotels, qui recrute tous les ans des diplômés. A l’IAE Lyon 3 - Jean Moulin, Valeo, Areva, Volvo ou Alstom embauchent chaque année des apprentis du master management des achats. Autre booster pour l’accès à l’emploi, l’apprentissage, une formule proposée par de nombreux programmes, et qui se répand. Ainsi, le master audit et pilotage des organisations de l’IAE Toulouse 1 pourra être suivi en apprentissage à partir de la rentrée 2016. "Les IAE intéressent de plus en plus les entreprises. Leurs diplômés rivalisent à coup sûr avec ceux d’écoles de commerce postbac et de certaines post-prépa. Et les recruteurs les apprécient, car ils ont davantage la tête sur les épaules et sont plus débrouillards", souligne Michaël Moyal, directeur général du cabinet de recrutement Moyal & Partners. Compétition à l’entrée Certains IAE sont particulièrement attractifs, et donc sélectifs, en tête celui d’Aix-Marseille, accrédité EQUIS et AMBA, deux labels internationaux très prisés par les écoles de commerce. L’établissement figure même au classement du Financial Times. Mais on peut aussi citer les IAE Gustave Eiffel, ceux de Lyon, Metz, Nantes et ou encore de l’EM Strasbourg rattachée à l’université. Et chaque IAE recèle ses pépites, des programmes renommés, bien identifiés par les recruteurs, considérés comme au top dans leur domaine. Qui dit masters renommés et attrayants dit évidemment forte compétition à l’entrée. Seul un candidat sur cinq est ainsi accepté dans le master audit et gouvernance des organisations de l’IAE Aix-Marseille. La palme de la compétitivité revenant au master comptabilité, contrôle, audit CCA, voie royale pour l’expertise comptable, de l’IAE Gustave Eiffel pour lequel neuf candidats sur dix sont recalés. Constitués en réseau, les masters CCA sont une marque bien identifiée par les recruteurs. Ils mènent aux métiers très recherchés de la comptabilité et de l’expertise comptable. Programmes stars S’ils ont été les pionniers de la professionnalisation dans les universités, les IAE n’ont pas pour autant le monopole des formations les plus efficaces. De nombreuses universités offrent des masters professionnalisant dont les recruteurs s’arrachent les diplômés, en s’appuyant sur les mêmes recettes étudiants triés sur le volet, positionnement sur des fonctions recherchées par les entreprises, liens étroits avec les recruteurs, expériences sur le terrain et échanges avec des universités étrangères. Certaines facs ont ainsi su se faire un nom qui sonne aussi doux aux oreilles des recruteurs que celui des écoles de commerce les plus cotées. A commencer par Paris 1-Panthéon Sorbonne et Paris 9-Dauphine, qui a rejoint il y a deux ans la Conférence des grandes écoles. Leur notoriété et la qualité de leur corps professoral en font des valeurs sûres et certains de leurs programmes sont de véritables stars. Comme le master banque et finance de Paris 1, dirigé par l’économiste Christian de Boissieu, ou bien encore le master CCA de Dauphine. "La moitié de nos intervenants sont des professionnels et nous mettons l’accent sur les stages tout au long de la formation. Nous avons également une offre de formation via l’alternance, et des cours en anglais…", détaille Bruno Oxibar, son responsable. A Paris 9-Dauphine, un étudiant sur deux fait dorénavant le choix de la césure. Comme Alexandra Stefanica, diplômée du master gestion de patrimoine et banque privée, qui a enchaîné apprentissage et césure dans une même entreprise avant d’y être embauchée dès la sortie. "Cela permet de mettre directement en pratique nos connaissances." Enfin, de plus en plus de masters proposent des cours dispensés en anglais. Autant d’arguments qui font mouche auprès des recruteurs. D’après la dernière enquête du ministère de l’Enseignement supérieur, 89% des diplômés de masters universitaires en gestion sont en emploi dix-huit mois après leur diplôme. Et même les plus sélects des employeurs s’intéressent à ces profils. "Nous recrutons auprès des universités Dauphine et Paris 1, disposant de masters ayant une excellente réputation. Nous connaissons leurs professeurs, savons qu’ils réalisent de longs stages, voire une année de césure ainsi que de l’apprentissage." Si l’insertion est aussi aisée, les salaires restent cependant, en moyenne, légèrement en retrait par rapport aux grandes écoles. "Même si nos diplômés occupent les mêmes postes, les entreprises tardent à changer leurs grilles des salaires", regrette Virginie de Barnier, de l’IAE d’Aix-Marseille. Une situation que constate également le recruteur Michaël Moyal "Il peut y avoir quelques différences, en particulier auprès de PME et start-up." Ensuite, il en va des masters comme des écoles, les conditions varient considérablement selon la renommée du programme, de l’université et le parcours déjà engrangé par les candidats, avec des salaires pouvant aller pratiquement du simple au double à la sortie. Belle offre en province La province compte elle aussi des masters réputés. A commencer par Toulouse 1-Capitole et la Toulouse School of Economics, qui joue dans la cour des grands avec ses enseignants stars, à la réputation internationale comme le Prix Nobel Jean Tirole. Mais l’on trouve d’excellents programmes un peu partout. A l’instar du master carrières bancaires et financières de Rennes 1, qui peut s’effectuer en alternance. "Nous travaillons en partenariat avec toutes les banques. La qualité de l’enseignement et l’exigence académique sont nos atouts", présente Nathalie Payelle, sa responsable. "Nous recrutons également au sein de très bons masters en régions comme à Lyon, Clermont-Ferrand, Marseille, Nice, Lille et Tours", ajoute Victor Amselem, de Grant Thornton. Parmi les 250 jeunes diplômés embauchés chaque année par son cabinet, 35% viennent ainsi de l’université. Et il assure "Nous voulons augmenter cette part. D’un point de vue technique, ils ont des connaissances plus solides et bien que leur niveau d’anglais soit un peu moins bon, ils sont souvent plus motivés pour rester plus longuement au sein du cabinet que les étudiants diplômés d’écoles de commerce." >> Retrouvez l'intégralité du dossier de Challenges sur les meilleurs masters universitaires Témoignages de deux jeunes diplômées de masters en gestion, management, finance Diane Vivien, 26 ans, analyste financière senion chez Philips, à Amsterdam. >> Master contrôle de gestion et systèmes d'information de l'université Cergy-Pontoise en 2013. Après sa licence en économie-gestion à Cergy-Pontoise, Diane Vivien avait envie de concret. "Les cours étaient trop axés sur les mathématiques, pas assez appliqués au monde de l’entreprise", se souvient la jeune femme. Un ami lui parle alors du master contrôle de gestion et systèmes d’information. " J’ai étudié le contenu des cours et j’ai été séduite, car l’enseignement était très proche de ce que l’on peut trouver en école de commerce, avec la possibilité de préparer le diplôme en apprentissage." Pendant son cursus, Diane se frotte au concret via trois missions successives, à Sony, EDF et Faurecia. "Dans ces grands groupes internationaux, j’étais un peu une curiosité. Les gens ne savaient pas qu’il était possible d’être apprenti à l’université, se souvient-elle avec amusement. Cela dit, il faut savoir que l’alternance impose un rythme très intense." Forte de ces expériences, elle se voit alors proposer un CDI "avant même d’être diplômée". Mais la jeune femme s’offre le luxe de décliner pour partir en VIE aux Pays-Bas à CGG, avant d’être engagée au poste de senior analyste chez Philips, où elle poursuit désormais sa prometteuse carrière d’expatriée. Myriam Derrahi, 27 ans, consultante chez KPMG, à Paris. >> Master audit et gouvernance des organisations de l'IAE Aix-Marseille en 2013. Son DUT en poche, Myriam Derrahi part un an en échange à San Diego, en Californie. Là -bas, une de ses professeures américaines lui conseille de continuer sa formation à l’IAE d’Aix-Marseille, dont elle reçoit régulièrement des étudiants. De retour en France, Myriam y postule en même temps qu’à l’EMLyon et Toulouse BS. "Je voulais me spécialiser dans l’audit interne et j’avais vu que ces écoles étaient particulièrement réputées sur ce créneau." Au final, elle a choisi l’établissement aixois, séduite par la qualité du corps professoral et la possibilité de suivre le master audit et gouvernance des organisations en apprentissage. "Toute ma promotion s’est rendue à Paris pour rencontrer des recruteurs à l’initiative du directeur du master. Efficace! A la fin de la semaine, nous étions tous sous contrat." Myriam effectue alors son alternance au département audit externe du Crédit agricole. Recrutée chez Mazars à la sortie de l’école, elle a déjà rebondi à un poste de consultante chez KPMG. "L’IAE représente vraiment une bonne alternative aux écoles de commerce. Nous avons exactement le même encadrement et les mêmes opportunités."
Par Futurness by l'Etudiant, publié le 09 Novembre 2018 5 min Université Licence Droit Réorientations Coaching/Orientation En fin de première année de fac de droit, tout comme dans d’autres filières universitaires, nombreux étudiants ne parviennent pas à valider leur année d’étude et cherchent alors à se réorienter. Que faire après une première année de droit ? Quelles sont les différentes options ? Si vous cherchez à vous réorienter, voici quelques pistes pour vous. Le DUT Carrières juridiques Après une première année de droit, l’étudiant dispose de compétences de base dans le secteur juridique. Ce sont ces connaissances qui peuvent lui permettre d’intégrer un IUT Carrières juridiques. Ce type de formation, plus scolaire, en groupe restreint, peut lui convenir davantage que les cours magistraux, le système universitaire. Le DUT Carrières juridiques propose de nombreux débouchés tels que le secrétariat juridique auprès d’avocats, dans les services juridiques de grandes entreprises ou de collectivités territoriales. Les titulaires de ce DUT pourront aussi exercer dans la gestion de dossiers contentieux au sein de banques, d’organismes de prêt ou encore de grandes structures privées, ou même dans le service Ressources humaines ou relations internes des sociétés. Certains IUT, comme celui de Bordeaux par exemple, proposent de le faire par alternance. Et bonne nouvelle après un DUT Carrières juridiques, l’étudiant pourra aussi opter pour une poursuite d’études en fac de droit de nouveau. Il existe en effet des passerelles qui permettent aux étudiants de finaliser leur projet professionnel par le biais de l’université ainsi qu’ils l’avaient initialement écoles privées dans le secteur du droit Il existe également quelques, certes peu nombreuses, écoles privées, spécialisées dans le domaine juridique. L’étudiant peut y préparer notamment une carrière dans le secteur de la justice. Elles permettent, le plus souvent après le bac, de suivre une formation qui dure de deux à cinq ans. Ce peut être une bonne solution pour rebondir après un échec en fac de DUT Commerce ou le DUT Gestion, logistique et transport Ces instituts universitaires dispensant des formations supérieures courtes en deux années, proposent des matières en droit ainsi que, bien sûr, plusieurs autres disciplines. Ce peut être une alternative intéressante pour les étudiants pour lesquels une spécialité purement juridique s’est avérée trop fermée, ne correspondant à assez à leurs aspirations. Ces IUT ont l’avantage de proposer une forte professionnalisation de leur formation et un encadrement plus important qu’à l’ écoles de commerce et le DUT ou BTS Commerce Nombreux étudiants, après un échec en première année de Licence de droit, choisissent une réorientation en écoles de commerce, qu’elles soient publiques comme les BTS ou DUT ou privées. L’atout des formations en école de commerce est que le contenu de la formation dispensée durant les deux premières années est souvent assez généraliste et ouverte à tout profil d’étudiant. De plus, avoir déjà quelques notions juridiques peuvent s’avérer un vrai plus à l’entrée de ces écoles qui sont souvent assez sélectives et proposent elles-mêmes une matière en une licence dans un domaine autre que le droit Un étudiant qui n’est pas parvenu à valider tous ses crédits en fac de droit peut cependant vouloir conserver ce système de formation universitaire et opter pour une autre filière en rapport avec le droit. On conseillera de préférence des filières telles que AES Administration Economique et Sociale, Sciences humaines et sociales, Lettres ou Langues. Une mention toute spéciale pour la fac d’AES qui propose un cursus à dominante économique mais aussi juridique. Un étudiant ayant suivi une première année de droit pourra suivre les cours de la fac d’AES avec plus de facilité car cette filière propose de nombreuses heures d’enseignement du droit. Il s’agit donc là d’une excellente manière de se il n’est pas impossible d’envisager aussi une toute autre orientation qui n’a rien à voir avec le droit. Un conseiller d’orientation peut venir en aide à ces étudiants pour lesquels tout le projet professionnel est peut-être à revoir. Ne pas réussir une première année d’études supérieures ne doit en aucun cas être considéré comme un échec. C’est, au contraire, l’occasion de mettre cartes sur table et de réfléchir de nouveau, avec ou sans l’aide d’un professionnel de l’orientation, à ce que l’étudiant souhaite véritablement faire dans son avenir professionnel.
Temps de lecture 4 minutesArticle mise à jour le 25 juillet 2022. La licence de droit, une formation pour devenir un expert de la loi ! Avocat, juriste d’entreprise, magistrat, notaire… La licence de droit s’effectue à l’université en trois ans et elle te permet d’accéder à ces différents métiers du droit et de la justice après une poursuite d’études. Cette licence a pour but d’apporter des connaissances solides aux futurs juristes. En effet, tu apprends notamment les différentes techniques juridiques et les textes pour devenir un expert de la loi. D’ailleurs il s’agit de la 4 ème formation la plus demandée sur Parcoursup 2021 ! Cela signifie que même si ce n’est pas une formation sélective, cela ne te garantit pas d’obtenir ton vœu. La licence est proposée à l’université, dans un UFR de droit. C’est une formation diplômante de niveau bac+3 qui te permet d’obtenir 180 crédits ECTS. A la fin, tu accèdes à un diplôme national de niveau II reconnu par l’État. Ce que tu étudies en licence de droit Au programme, tu assistes à des cours dans de grands amphithéâtres. Tu as également des travaux dirigés TD en classe qui te permettent d’approfondir les cours que tu as suivis en amphi et poser toutes tes questions au prof. La formation s’effectue en trois ans. Les deux premières années sont assez générales. Puis, en troisième année, les étudiants se spécialisent pour ensuite choisir un master 4ème année qui correspond à leur spécialisation. Ainsi l’objectif de la licence est de te transmettre des bases du droit avant une poursuite d’études en master. En général, l’alternance est possible au niveau master. Suis nous sur Insta pour tout savoir sur les formations ! La licence de droit est organisée autour de différentes matières L’histoire du droitLe droit administratifLe droit pénalLe droit civilLe droit constitutionnelLes finances publiques Le droit de l’Union EuropéenneDroit des sociétésDroit du travailDroit international A savoir il est important d’être conscient que les études de droit sont exigeantes… En effet, elles demandent beaucoup d’implication, d’organisation et de mémoire. Des qualités d’éloquence et d’argumentation sont aussi requises. Quels profils intègrent la formation ? La licence de droit s’adresse à tous les détenteurs d’un baccalauréat général. Certains UFR proposent une année de mise à niveau aux bacheliers technologiques par exemple STMG. Nous te conseillons de privilégier les spécialités suivantes Humanités, Littérature et PhilosophieLangues, littératures et cultures de l’AntiquitéHistoire-géographie, géopolitique et sciences politiquesLangues étrangèresPhilosophie Avoir fait du latin, du grec ou avoir encore choisi l’option DGEMC Droit et Grands Enjeux du Monde Contemporain sont des éléments à mettre en avant ! Comment intégrer la formation ? En L1 1ère année de licence l’admission se fait via la procédure Parcoursup En L2 ou L3 l’admission est sur dossier via le site de l’université pour les étudiants ayant déjà effectué 2 ans d’études supérieures classe prépa, DUT carrières juridiques De nombreuses universités réparties dans toute la France proposent ce cursus, tu peux retrouver ci-dessous les plus connues la liste n’est pas exhaustive L’Université Panthéon-AssasL’Université Panthéon-Sorbonne L’Université d’Aix-MarseilleL’Université Paris-Saclay / Université Paris-SudL’Université Paris NanterreLe parcours Droit public et Science politique de l’Institut Catholique de Paris Quels sont les débouchés en terme de poursuite d’études ? Il est possible de passer des concours directement à Bac +3 pour rejoindre la fonction publique Le concours pour entrer dans la Police comme le concours externe d’officier de police Les concours d’attaché territorial, de contrôleur du travail, d’inspecteur ou contrôleur des fraudes, des douanes ou des finances publiques Le concours d’entrée à l’École nationale d’administration pénitentiaire Par ailleurs, il est également envisageable de poursuivre ses études vers un master de droit à la fac 2 ans pour ensuite débuter ta carrière comme juriste par exemple. Voici quelques exemples de masters spécialisés Master en droit des affairesMaster en droit public Master en droit de la santéMaster droit socialMaster droit international et européenMaster droit du numérique Master droit privé Master droit pénalMaster droit fiscal Dernière option tu peux choisir de poursuivre tes études vers un master de droit à la fac 2 ans pour ensuite passer des concours administratifs et juridiques prestigieux comme Le prestigieux concours de l’ENM École Nationale de la Magistrature pour devenir magistrat Le concours CRFPA le barreau pour devenir avocat Quels sont les métiers possibles ? Les métiers les plus choisis après une licence de droit sont généralement avocat, juriste d’entreprise, notaire, magistrat, huissier de justice, juge d’instruction… Bien entendu ces professions ne sont accessibles qu’après un master et des concours spécifiques. Voici un petit aperçu des métiers auxquels tu peux prétendre Administrateur judiciaireCommissaire de policeConseiller d’insertion et de probationClerc d’huissierCollaborateur de notaireDirecteur des services pénitentiaires / Surveillant de centre pénitentiaireÉducateur de la PJJJuge des contentieux de la protectionJuge des enfantsMandataire judiciaireOfficier de police GreffierSecrétaire juridiqueSubstitut du procureur Outre ces métiers purement juridiques, il existe plein d’autres possibilités envisageables ! Cet article t’a intéressé ? Alors n’hésite pas à consulter le blog tu y trouveras des articles sur d’autres formations ainsi que toutes les actualités Parcoursup !
M Campus Les étudiants de l’université peuvent tenter leur chance à Normale sup, Polytechnique ou HEC grâce aux seconds concours ». Mais très peu de places sont proposées. Dossier spécial admissions parallèles. Louis Pasteur, Jean-Paul Sartre, Georges Pompidou ou encore Raymond Aron sont diplômés de l’Ecole normale supérieure ENS de la rue d’Ulm à Paris. Pourtant, l’école est-elle connue du grand public ? Les jeunes n’ont pas vraiment conscience des formations qu’offre l’ENS, ni de la place qu’y tient aujourd’hui la recherche », note son directeur Marc Mézard. L’ENS a donc décidé, pour la première fois de son histoire, d’ouvrir ses portes au public, le 13 février, afin de montrer ses différents départements mais aussi de promouvoir ses voies d’accès. Lire aussi Premières portes ouvertes à Normale Sup depuis deux siècles Outre ses concours en lettres et en sciences réservés aux prépas, l’ENS organise depuis 2008 une admission sur dossier et entretien. L’objectif est de repérer des profils très brillants dans un domaine, qui ne se seraient pas forcément distingués dans un concours pluridisciplinaire, mais affichent un projet d’études précis. La sélection s’effectue au niveau de chaque département de l’école. Peuvent postuler des étudiants de deuxième ou troisième année de licence. Les 120 normaliens étudiants » ainsi recrutés n’ont pas à s’engager pour dix ans auprès de l’Etat et ne sont donc pas rémunérés comme les 194 normaliens élèves » issus des prépas. Mais ils bénéficient de la même formation, avec un suivi très individualisé », précise M. Mézard. Ils introduisent aussi une plus grande diversité dans les promotions 30 % d’entre eux sont boursiers, contre 17 % parmi les lauréats du premier concours. » Depuis 2000, Polytechnique entend, elle aussi, donner une chance aux jeunes qui ne sont pas montés dans le train des prépas », dit Michel Gonin, responsable du concours. Outre les 400 places briguées par 4 604 candidats de prépa, l’X en a proposé 18 en 2015 à des profils exclusivement universitaires, détenteurs d’une licence de maths, de physique, de mécanique ou de chimie. Ici, les recrues bénéficient du même statut que leurs camarades et reçoivent une solde. Leur nombre va passer à 23 à la session 2016 puis à un plafond de 50 d’ici cinq ans. Nous sommes absolument satisfaits des élèves que nous recrutons en prépa. La filière universitaire, elle, a vocation à rester une voie d’admission parallèle », commente Michel Gonin. Si, à l’échelle de la conférence des grandes écoles, les classes prépas ne représentent plus que 39 % des admissions, leur monopole n’a pas été ébranlé dans les plus prestigieuses. A l’ENS Lyon, un second concours, destiné depuis 1992 aux licences scientifiques, leur ouvre les mêmes droits que les admis des prépas… mais ne totalise que 7 places. A Centrale Supélec, à Paris, le concours Casting propose 20 places aux universitaires, alors qu’il y en a 390 à la sortie des prépas. Un lycéen dont l’ambition est d’intégrer l’une des grandes écoles les plus renommées a donc tout intérêt à opter pour une prépa. Elle reste la voie d’accès privilégiée à HEC », insiste Julien Manteau, directeur du développement de l’école. Depuis 1996, la prestigieuse école de Jouy-en-Josas Yvelines propose une autre entrée dans son programme grande école, mais qui se situe au niveau master et concerne donc des étudiants plus avancés dans leur projet, ou en quête d’une double compétence, comme des ingénieurs ou des juristes. Longtemps, la plupart des places ouvertes par ce concours d’admission directe » – soit 50 sur 75 –, ont été réservées à des candidats issus de grandes écoles partenaires, comme Sciences Po ou les Mines ParisTech. Ce quota n’existe plus, mais beaucoup d’admis proviennent toujours de ces établissements. Et pour certaines grandes écoles, l’expression admission sur titre » ne signifie pas seulement l’étude d’un dossier mais parfois aussi toute une batterie d’oraux – six à Polytechnique et quatre à HEC… Aurélie Djavadi Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
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