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Jecrois en moi et je crois dans ce que je fais" mais "j’ai toujours quelque chose à prouver", a dit le demi-fondeur scandinave. Le champion olympique en titre du 1.500 m n’a pas eu l
Jevous propose aujourd’hui de découvrir la retranscription écrite de la vidéo que j’ai réalisée avec le Dr Stéphane Résimont sur les liens entre thyroïde et digestion. Il nous explique aussi ce qu’est précisément l’hypothyroïdie, ses causes, en quoi les tests sanguins réalisés actuellement ne renseignent en rien l’état de fonctionnement réel de la thyroïde et ce qu
Arcen-ciel : 10 choses que vous ignorez au sujet de ces phénomènes. Mis à jour le 1 mars 2021 à 15:52. par Marie Rimbaud. C'est l'un
Uneinsuffisance rénale chronique n’est pas une maladie ou entité externe qui tombe du ciel et s’attaque à votre chien, non. En effet, cette affection rénale apparait progressivement avec le temps et est souvent liée à une intoxication assez spécifique. En effet, cette maladie des reins est grandissante ces dernières années.
Site De Rencontre Pour Geek Quebec. Sissi25/05/2022, 18h34SiJe pense avoir perdu mon frère de cette maladie. C'est moi qui l'ai retrouvé par terre, mort. Tous vos témoignages font écho aux symptômes qu'il avait et dont j'ai été témoin. Comme Milou, je me sens coupable de ne pas avoir réagi. Je l'ai laissé avec une bouillotte et un autotest covid... Je me sens terriblement conne. ça va faire un an et je n'arrive toujours pas à l'accepter. Flo7920/01/2022, 01h21FlBonsoir et oui maladie très sournoise, première idée gastroenterite mais barre de douleurs énorme sous le nombril. Vomissements et diarrhées toute une nuit avec une douleur de plus en plus insupportable. Au petit matin mon mari me conduit aux urgences de l'hôpital me plus proche, ville de 10000 habitants donc petit hôpital. Très vite reçu et nombreux examens dont scan abdominal qui révèle rapidement un infarctus mesenterique. Transfert en urgences sur un chd ou on me dit pronostic vital engagé ils vont opérer mais ne savent pas s'ils vont me sauver. 6 heures plus tard je me réveille en réanimation et oui je suis vivante. Je n'ai eu aucune ablation des intestins. Par contre ensuite complications avec comité intestinale. C'était le 23 mai 2019. Je n'ai pas les séquelles intestinales de beaucoup de personnes mais ma vie n'est plus la même. J'ai déclenché suite à cet infarctus des douleurs dans tous le corps, des insomnies quelques troubles du transit. Diagnostic de fibromyalgie. Mais le plus important maintenant est de profiter au maximum de mes deux adorables petites filles. Et je pense que pour le diagnostic peu importe la grandeur de l'hôpital il faut tomber sur la bonne personne au bon 04h13AlBonjour je sans de petits douleur au ventre de ballonement un peu de fatigue manque un peu d'appétit que faire envu d'aller au toilette 3 4 fois par jour que fairepersonne02/08/2021, 18h32peJe peux dire qu'à deux reprises dans ma vie c'est à moi que je dois d'être encore première fois grossesse extra utérine de 4 mois avec trompe explosée j'ai visité de nombreux gynécologues "non ce n'est rien c'est juste un dérèglement hormonal le test n'a rien suis allée voir un chirurgien gynéco la même chose "non ce n'est rien un dérèglement hormonal ou une endométriose"moi , mais, il faudra ouvrir pour aller voir ? "Oui mais ce n'est pas urgent" Moi, alors vous ouvrez demain j'ai été opérée dans la semaine et transfusée il parait que le sang a giclé lorsque le scalpel a coupé . Si cela n'avait pas été fait je serai sans doute deuxième fois occlusion intestinales coloscopies gastroscopie scanner tout va bien vous n'avez rien sauf que je n'allais pas bien du tout et que je me sentais en urgences une catastrophe je me suis faite rabrouée une vraie maltraitance qui devrait être vais voir un chirurgien je lui dit "ouvrez de grâce il faut allé voir ce qui ne va les 8 jours je rentrai au bloc . Le lendemain je le vois il lève les bras au ciel et me dit vous étiez en occlusion par des liens et adhérences les intestins et l'estomac étaient pris dans un enchevêtrement de tissu perdu toute confiance sans cette profession, et je ne me sens pas rassurée pour l'avenir" ILS NE SONT PAS BONS!"PATATASFRITAS17/07/2021, 16h05PAbonsoir père faisait un infarctus sos c'est déplace 3 fois ils ont prescrit Eferalganmon père est décédé au chu j'ai engage des poursuites contre sos medecinsqui pour moi sont la grande surface de la médecine c'est au conseil que les medecins ont dit cabien sur j'ai mon procès mais c’était long et pas simple car ces gens ce protège bien ensemble une caste mais ont peut les faire tombes la preuvesylvi1220/02/2020, 12h08syMa très chère maman m'a quittée ce 2 janvier 2020 suite à cet infarctus, aux dires de mon médecin traitant. Elle avait tous ces symptômes. Le rapport médical me dit décès suite à une colite aigüe et ils ne m'ont pas envoyés tous les documents pour se protéger, ils se foutent de nous! Ce jour là , pas de défibrillateur dans le service. Le SAMU est arrivé 10 minutes après son arrêt cardiaque. C'est INACCEPTABLE! J'ai entendu de tout de leur part occlusion, AVC et tant d'autres. Je vais porter plainte contre cette pourriture de gastroentérologue pour le faire rayer de l'Ordre des Médecins. Il m'a envoyé "sur les roses" quand je lui demandais d'aller la voir. Tout va bien m'a t'il dit. Faites tous la même chose, rassemblons nous tous, créons un site de plaintes, je ne sais plus quoi dire. Ma maman a tant souffert, nous étions fusionnelles et vivions ensemble depuis 7 ans. Pour elle, je vais me 14h48MaBonjour, ma mère avait de fortes douleurs au ventre, son médecin traitant a dit que c'était une gastro "sèche".Prise de vomissements sans jamais rien vomir et d'atroces douleurs, je décide de l'emmener aux urgences qui disent la même chose et lui disent de venir faire un scanner le lendemain à fois le scanner fait, ils la gardent car c'est une occlusion intestinale, il faut la transférer à l’hôpital ou le chirurgien qui la suit depuis sa 1ère opération exerce, pour l'opérer d'urgence lendemain après lui avoir mis une sonde du nez aux intestins, ils disent que ça va mieux et que l'opération n'aura peut être pas lieu et même si l'opération est nécessaire, elle ne sera pas la nuit elle a eu des douleurs intenables, elle est tombé dans les pommes, les infirmières l'ont descendu pour faire un scanner et ils ont décidé de la transférer. Donc hier elle à été transférer à l’hôpital, elle s est faite opérée et là .. Choc septique, coma artificiel dans un service de 17h54mjJe viens de lire vos témoignages et je suis bouleversée et je pleure car j'ai perdu ma maman d'une colite ischémique secondaire à un infarctus mésentérique en 48h,le 20/06/2019 malheureusement j'étais loin d'elle, c'est mon frère qui s'est occupé de tout et il culpabilise beaucoup car il estime ne pas avoir fait son possible. Sauf, qu'il faut savoir que c'est un infarctus très rare qu'il est la plus part du temps fatal. Même au cours des études de médecine et en infirmerie, il survole ce type de cas car imprévisible et les symptômes sont trompeurs car ils sont les mêmes qu'une gastro entérite, C'est d'ailleurs ce qu'a diagnostiqué un des médecins qui a ausculté ma maman. Seul un des médecins qui l'a ausculté dans une clinique au Portugal a eu le bon diagnostic et l'a transférée en urgence dans un hôpital compétent,ou ils l'ont opéré le lendemain de la crise car il faut que les constantes soient stabilisées pour l'opération qui présente dans ce type de cas des risques importants encore plus si les constantes ne sont pas stables. Mais malheureusement, sachant que l'artère mésentérique est bouchée et n'apporte plus le flux de sang nécessaire à la survie des organes, ces derniers n'ayant plus d’oxygène pour continuer de fonctionner et d'aider le cœur, commencent à nécroser et le mal continue son œuvre. Maman est partie le lendemain à 5h du matin, je sais qu'elle n'a pas souffert car elle a été mise en soins intensif et dans le coma Mais elle a due terriblement être mal le mardi 18/06 quand tout a commencé et j'aurais tant voulu être là pour l'aider même si je sais que l'issue était fatale !!! Je pleure son absence et le manque de sa voix de son odeur, elle m'obsède !!! c'est une fin terrible et brutale qui ne laisse pas le temps de réaliser ce qui se passe ! c'est une maman exceptionnelle comme toute les mamans du monde mais la mienne était la meilleure. La vie est un combat de tous les instants et tout arrive quand on ne s'y attend pas on croit que nos proches sont immortels et que tout est acquis ! Eh bien NON !!! Depuis j'ai peur de ce qui pourrait m'arriver et surtout à mes proches ! c'est très dure et parfois je souhaiterai remonter le temps pour lui dire tout ce que je n'ai pas eu le temps de lui dire et maintenant c'est trop tard !!! Courage à tous et toutes et prenez soins de 14h19StJe pense que quand un médecin vous donne un diagnostic, nous sommes à 99,99% d’accord avec lui. Ok pour prendre soin de notre corps mais ils ont fait 7 ans d'études voire plus donc en toute logique nous avons confiance! Comme je l’ai dit dans un message, mon frère a frôlé la mort à cause de 3 mauvais diagnostics de 3 médecins différents ! Alors qu’il avait une crise d’appendicite, elle a évolué en une péritonite et le chirurgien nous a dit qu’à quelques heures près il allait mourir.....Ça laisse à réfléchir quant à la connaissance des médecins consultés ! 14h12StToutes mes condoléances Monsieur ! Il est arrivé quasiment la même chose à mon frère avec une fin heureuse mais les médecins 3 différents ont pensé à une gastro-entérite ! Grâce à sa femme qui l’a emmené en pleine nuit aux urgences car mon frère souffrait énormément , il est passé à côté d’une mort certaine dans les heures à venir et le serait si ma belle-sœur n’avait pas insisté pour le conduire aux urgences! Le chirurgien nous a dit qu’elle avait sauvé notre frère car quand il a ouvert il y avait du pu de partout ! Je ne rends pas grâce aux 3 différents médecins qui auraient pu avoir laissé mon frère mourir et d’ailleurs le chirurgien nous a vivement recommandé de dénoncer ces médecins à l’ordre des médecins et de porter 08h50niUn ami chirurgien de l'appareil digestif vient lui-même de décéder de cet infarctus sans vouloir aller tout de suite à l'hôpital où il était chirurgien...BLANCHE04/05/2019, 07h08BLJ'ai lu vos témoignages et je m'aperçois que l'erreur de diagnostics peut-être fatale. Le problème ça ressemble a une gastro ou intoxication alimentaire... Ma fille de 19 ans est décédée chez elle en l'espace de 24h. Pourtant, elle avait fait le 15 la veille...croyant a une intoxication alimentaire, ça va passer lui a t on dit... elle a fait un arrêt cardiaque et lorsqu'ils ont ouvert, il y avait 5 mètres d'intestin nécrosé. Un mois avant, elle avait eu les mêmes symptômes et c'était rendu aux urgences mais rien diagnostiqué. Je pense que c est une maladie méconnue et tellement brutale que l'on peut confondre avec des choses bénignes. Faire un diagnostic en urgence n'est pas toujours simple mais des signes avant coureurs peuvent peut être pousser à faire des examens plus approfondies tout dépendra du médecin...Geny Vince 13/03/2019, 03h19GeRéponse à Milou dont le témoignage me donne une immense tristesse et à qui je voudrais dire de ne pas culpabiliser parce que c'est votre époux qui n'a pas voulu y aller tout comme papa qui est parti de cette façon dans le bras de maman au fin fond d'un petit village. La personne malade a son libre arbitre et l'on n'a pas le droit de forcer ou obliger. C'est vrai, c'est une immense culpabilité infondée qui nous ronge la même chose m'est arrivé mais je n'en parlerai pas et je culpabilise encore! 3 ans que je demande pardon de n'avoir pas bougé avant mais à quoi bon? Cela ne fait pas revenir l'être concerné et nous fait souffrir terriblement presque au point d'en partir de vous lisant, j'ai pris conscience que c'est inutile et vais essayer de travailler cela pour au moins pleurer un minimum et non un maximum. Merci à vous, 10h42PiSuite à des crampes abdominales intenses, à des douleurs intempestives sur le bas du ventre, à une impossibilité de marcher sur mon lieu de travail, un collègue a aussitôt appeler le SAMU, où le médecin a mis près d'une trentaine de minutes avant de un nom et un prénom d'origine ibérique, sans faire moi-même d'allusions à toutes connotations raciales, le médecin s'est permis de dire si je parlais au moins le eu la force de lui rétorquer que je maitrisais cinq langues plus, il s'est un peu "trompé" sur le diagnostic, en diagnostiquant une j'ai fait une occlusion que je peux reprocher à ce médecin est sa maladresse, son manque de tact, de correction et d' lieu de mettre à l'aise et d'apaiser les souffrances d'une personne malade, il a décidément fait le ailleurs, ce manque de réactivité, concernant sa lenteur à répondre et à questionner le malade avec un langage inapproprié peut avoir de très lourdes guise de conclusion, je trouve cela inacceptable, voire 22h52RéDepuis ma ménopause 54 ans, soit huit ans, je ne vais plus jamais à la selle. Maux de ventre aigus, extrême fatigue, envie d’en dans tout mon corps, j’ai du mal à bouger. Et pourtant, à ce jour, aucune pathologie grave n’a été diagnostiquée. Angoisse extrême, insomnies, 17h01chBonjour,Je viens moi même d'être opéré en urgence d'une ischémie de l' au ventre affreux à ne plus savoir quoi faire de moi. Mon médecin traitant étant absent, j'ai appelé le 15 qui n'a pas voulu se déplacer, j'ai appelé les médecins des communes voisines que ne pouvaient pas me recevoir non plus. Ma belle-sœur est arrivée entre temps et a rappelé le 15 qui l'a renvoyé balader, je dis merci les spécialistes de l'urgence. C'est mon frère qui m'a emmené aux urgences et j'ai été opéré dans la soirée en urgence 03/02/2018, 23h41SaNotre père est décédé le 13 janvier 2018, suite à une ascite que je connaissais pas du tout. Il avait auparavant souffert de diarrhée répétées, depuis plus d'un an, ensuite quand enfin il a fini par accepter qu'il fallait se faire soigner, le 16decembre, son médecin n'a même pas été capable de faire un bon diagnostique ou de demander une echo abdominale, seulement du Flazol pendant 7jrs et quand il commençait à prendre du volume au niveau du ventre il refusait d'aller consulter et il en est mort il avait 82 06h47flDégoûtée. Je n'ai pas de mots. Toutes mes condoléances et surtout courage ! La vie c’est de la merde mais elle vaut la peine d'être vécue. 13h48maLes médecins SOS et les généralistes ont failli me conduire au cimetière aussi. Vraiment triste pour vous et votre femme. Heureusement un gastro m'a fait filer au scanner, j'ai dû rester et j'ai été sauvée grâce aux urgences. C'est encombrant pour eux mais dorénavant je file aux urgences quand j'ai un gros souci digestif... Chacun son job et pas envie de mourir à cause d'un incapable, ou négligeant. Un médecin de boulot m'avait auscultée debout sur un bout de table et avait diagnostiqué une grossesse avec douleurs épigastriques. Championne, la grosse !gébé11/04/2017, 22h47géJe réponds à Fabien. Je commence par lui demander de m'excuser car je n'ai pu le faire plus tôt. Bien sûr je lui conseille de consulter rapidement d'autres médecins, et de faire part de ses craintes. En effet, les multiples témoignages qui sont parvenus sur ce forum confirment que les médecins passent trop souvent à côté du mes voeux de 22h10FaBonjour, je viens à vous j'espère que vous saaurez m'aider. On m'a découvert une pince mésentérique qui se prénomme aussi casse noisette. On me l'a diagnostiquée mercredi passée mais avant cela j'ai de fortes douleurs après manger, boire et je fais de gros rots, j'ai des crampes type une barre en-dessous de l'estomac qui me fait énormément mal. Le vendredi qui suit j'ai dû me faire opérer de deux hernies inguinales, ce qui était s'est bien passée mais depuis, avec tous les antidouleurs, anti-inflammatoires et antibiotiques, vu que j'ai fait une infection urinaire, j'ai très mal au ventre. Le cardiologue a conseillé de le revoir dans 1 mois et demi pour éventuellement envisager une pose de stent à l'artère. Qu'en pensez-vous ? Dois-je attendre ou dois-je me rendre chez un autre médecin ?Maman déboussolée 13/11/2016, 10h30MaBonjour à tous, mon fils de 13 mois est décédé. Il a eu comme symptômes- vomissements vers 13h00 son médecin traitant nous à dit que c'était sans doute une lendemain matin, son ventre à commencé à gonfler et durcir. Arrivé au urgence on constate qu'une masse commencer à l'étouffer. Donc ont m'annonce que la seule solution c'est de faire une opération immédiatement pour voir quel type de blocage il à dans son petit corps. Après 3 heures d'attente, on m'annonce qu'ils ont dû enlever une partie de son estomac, que son intestin était troué. Ses organes ont été endommagés par le manque d'oxygène, l'opération a été longue et lourde et que son cas était critique. Les médecins supposent que son intestin ou estomac s'est retourné...Après 72 heures dans le service de réanimation, le médecin annonce son décès en disant qu'il y a eu une mort 14h57isBonjour, mon papa a son artère mésentérique complètement bouchée et les chirurgiens ne savent plus rien faire pour lui. Nous souhaiterions que ses souffrances diminuent car elles sont invivables pour lui et pour nous. Nous cherchons un traitement et malgré les nombreux anti-douleurs jusqu’à la morphine, rien ne n'y fait. Auriez-vous un quelconque avis sur le sujet ?En vous remerciant d' 15h16StMon beau-père nous a quitté le 31/12/2014 à cause de cette maladie. Cela faisait 3 semaines qu'il avait des signes avant coureurs. Perte d'appétit, pâleur... Des examens ont été fait peut-être pas les bons !. La veille de son opération un dimanche, les médecins ont même pensé à une appendicite ! Le lundi, il ont diagnostiqué l'infarctus mésentérique et l'ont opéré. Ils ont enlevé 80cm d'intestin. Le mardi, son état s'est dégradé et il nous a quitté le mercredi à 5h30. Beaucoup de questions restent sans réponses. 3 semaines de signes avant-coureurs et les médecins n'ont rien fait ! Nous sommes tristes et en 11h54daMon époux est décédé en moins de 12 heures. Il se trouvait à l'hôpital pour une autre pathologie, cela n'a pas empêché son décès malgré la rapidité de l'intervention du chirurgien qui s'est déplacé un 21h13KiMon frère est décédé à cause de cette maladie découverte trop tard. C'est quand il l'on ouvert que tout était nécrosé donc plus d'espoir de guérison. C'est dommage qu'on ne le voie pas assez tôt, il serait peut-être encore en vie aujoud' 12h11thBonjour, Lilou, tout d’abord bon courage à vous et surtout à votre père. Apparemment, votre père à été pris en charge rapidement, moi non plus je ne pouvais pas manger ni boire, je suis resté intubé pendant plus d'une semaine, j'avais une sonde naso aussi, par contre seulement 1 mètre d'intestin enlevé. Il faut beaucoup de patience, je pense qu'un autre chirurgien pourra vous conseiller davantage, car il est important de savoir ce qu'il en est lors d'une aussi importante opération. Bon 20h56liBonjour, mon père de 68 ans vient de faire un infarctus mésentérique dimanche matin. Aucun signe avant coureur, samedi soir repas en famille, tout allait bien. Dans la nuit il a été réveillé par de grosses douleurs abdominales avec difficulté à marcher et un ventre gonflé comme une femme enceinte de 9 mois. Direct aux urgences, prise en charge immédiate et directe au bloc. Résultat ablation totale du colon. Nous sommes allés le voir aujourd'hui, il ne peut ni manger ni boire. Il a une iléostomie et une sonde nasogastrique. Pour l'instant, nous n'en savons pas plus et nous espérons qu'il est hors de danger mais le chirurgien qui l'a opéré est parti en vacances, donc nous n'en savons pas 19h11flRéponse j'ai vu 3 docteurs pour mes douleurs aux jambes, en plus j'ai pris 20 kg en même pas deux mois. Je faisais un oedème mais je ne le savais pas. J'allais au travail avec des douleurs atroces aux jambes. Au bout de quelque semaines j'ai dû m'arrêter ne pouvant plus marcher. On m'a accompagner chez des docteurs qui m'ont donné des anti inflammatoires. Jusqu'au jour où plus de douleurs aux jambes et au bout de quelques jours, boum !!!!!Me voila pliée en deux avec des nausées, je me souvenais plus des sueurs, des selles atroces, appel d'urgence pompiers quine se sont pas déplacés. Mon frère m'a amenée 1 fois à l'hôpital pour me dire que j'ai fait une intoxication alimentaire. Retour à la maison, toujours pareil, partie à la clinique à côté de chez moi pour faire une écho avec toujours ces douleurs horrible,s pire que les contractions, avec vomissements, mais plus rien dans l'estomac, je vomissais de la bile. Les échographies n'ont rien donné, retour maison et là impossible de vous dire la douleurs intérieure, j'avais l impression que tout se brûlait. Retour à l' hôpital le 15 août je me souviens. Cela faisait au moins 1 jour que cela avait commencé. On m'a admise enfin !!!! J' étais soulagée. On me met dans une chambre, plus de douleurs mais des nausées à en vomir. L'infirmière me dit de rester couchée, mais moi je sentais que quelque chose se passait, j'ai dit à ma mère qui était avec moi que ça n'allait pas. Je me suis levée et j'ai vomi toute la m... qui était en moi, désolée de la vulgarité mais c'était ça, le mur était opération en urgence, ma mère m'a raconté, tout le monde courait dans le couloir, scanner rien donné, 1 opération on ne voit rien, 2 tentatives mon coeur s'arrête, un médecin raconte tout à mes proches, il leur dit d'être fort car mon coeur s'est arrêté, que j'étais vraiment abimée et fatiguée et qu'il me donner 48 coeur est reparti avec l aide des appareils, je me suis réveillée 4 jours après avec tout le matériel respiratoire et cardiaque. J'ai repris mon travail au bout de 9 mois d'arrêt mais je pense à ça dès que j'ai mal aux jambes, ça veut dire tous les jours. Voila mon témoignage, ça ma fait beaucoup de 18h10thBonjour Flo, vous êtes comme moi passée par une belle porte, comme on dit. Moi j'aurais fait cet infarctus mésentérique à cause de la pilule. On reste avec des séquelles, enfin moi oui, et toujours avec cet hantise que cela revienne. Je suis sous PREVISCAN afin d'éviter le risque, mais il faut vivre avec. Et pour ma part, j'ai beaucoup de mal, je suis en invalidité 1ère catégorie dû aux séquelles au niveau intestinal. J'ai arrêté de travailler, je bossais dans le médical et je n'arrivais pas à surmonter la hantise. Et surtout j'ai changé de vie, j'en profite un 18h03flBonjour j ai fait un infarctus mésentérique à l'âge de 38 ans en 2003. Suite à une phlébite à chaque jambe, j'ai vu trois médecins qui n'ont rien détecté Suite à cela, maux de ventre, vomissements, selles très noires avec une odeur très forte. Je me suis retrouvé à l'hôpital et là , occlusion intestinale et évanouissement, opération en deux fois, presque deux mètres à retirer, 10 jours de soins intensifs, sortie au bout d un mois de l'hôpital. 9 mois d'arrêt maladie. Le chirurgien ne voulait pas se prononcer avant 48 faut faire souvent des dopplers pour éviter une rechute qui serait je pense 23h29MaRÉPONSE A THYNEJ'ai posé beaucoup de questions vers l'orientation en rhumatologie concernant mon époux. J'ai même fait intervenir mon médecin traitant qui était aussi celui de mon mari mais rien n'y a fait ils ont décidé que c'était le bon service leur réponse était il faut commencer par quelque chose après on verra,il y a une infection quelque part il faut chercher d'où cela quand la catastrophe est arrivée j'ai écrit à l'hôpital pour savoir pourquoi ils ne m'ont pas écouté. Je voulais une réponse à mes questions mais ils ont classé le dossier me répondant que mon mari avait était bien pris en charge et qu'il n'y avait aucune erreur de leur part. Je connaissais déjà la réponse avant de recevoir le courrier c'était le pot de terre contre le pot de fer. Si j'avais de l'argent je vous assure que je n'aurais pas baissée les bras je les auraient mis en justice mais je ne suis pas riche je suis de classe ouvrière, en tout les cas je vous remercie de votre message de réconfort ainsi que la personne qui comprend ma détresse et qui m'a répondu. Bien cordialement à toutes les deux, encore merci de votre soutien et moi même vous souhaite bon couragethyne16/10/2014, 14h17thMarie-Françoise, comme je comprends votre incompréhension quand à l'hospitalisation de votre mari en rhumatologie au lieu du bon service. Je ne comprends pas pourquoi d'ailleurs personne en rhumatologie n'a vu qu'il ne s'agissait pas du bon service. Je suis passée par là , avec une issue favorable pour moi, mais avec tout ses choses que disent les chirurgiens et autres, la phrase qui me reste gravé est bien entendu, on va vous opérer mais votre pronostic vital est très engagé car on en sais ce que l'on va trouvé en ouvrant, donc vous vous ne vous réveillerez peut être pas....Apres une nuit sous morphine, c'est la chirurgienne même qui s'est déplacée dans ma chambre et qui m'a conduite en salle d'opération, en courant. Je l'a remercie car sans elle je pense que je ne serais plus de ce monde. Je vous souhaite plein de courage pour cette douloureuse épreuve, car les proches ne se remette jamais car les personnes ont toujours l'impression de ne pas avoir tout fait pour les sauver. Personnellement, j'aurais essayer d'en savoir plus au niveau de la première hospitalisation afin de savoir pourquoi il a été mis en service de rhumatologie..mado13/10/2014, 11h41maBonjour Marie Françoise, je sais qu'il est très dur de perdre son compagnon mais je crains que votre mari était déjà perdu quand il est arrivé à l'hôpital la deuxième fois. Il aurait déjà dû pousser des recherches lors de sa première hospitalisation ce qui n'a pas été fait. Peut-être était-il déjà trop tard, vous n'auriez pas toute cette amertume envers les médecins.. J'ai perdu ma mère d'un infarctus mésentérique sur une heure de de ne pas vivre avec de l'amertume, votre chagrin va être décuplé, pensez à toutes ces années de bonheur que vous avez eu avec lui. J'ai perdu mon mari en cinq mois. Je sais que la solitude, le décès de l'autre est difficile à supporter. Ayez du courage, votre mari n'aimerait pas vous voir pleurer. Séchez vos larmes et pensez à tout ce que vous avez entrepris pendant toutes ces années de 11h09MaMon mari fut hospitalisé un 16 avril 2012 pour une diarrhée aux urgences en rhumatologie. Je leur ais expliqué que mon mari n'est pas là pour être suivi pour ses rhumatismes. Le docteur des urgences n'en a fait qu'à sa tête, bien sûr je ne suis qu'une épouse de patient. Malgré ma protestation et celle de son médecin traitant, il se retrouve donc en rhumatologie ou soit-disant plus de diarrhée. Quelques jours passent, on remet quelques poches de sang et mon mari commence à vomir. On lui donne du primpéran pour le soulager, cela dure un certain temps, il souffre toujours, on ne l'écoute pas. C'est une personne qui prend beaucoup de temps à ces dames de services qui rechignent à sa demande de bassin ou autre. Par exemple pour sa toilette il était incapable de la faire seul, il était trop faible et pourtant il ne se plaignait jamais, on aurait dit qu'il avait peur de certaines personnes. Il a eu plusieurs problème en plus, des esquarres qui s'ajoutaient à sa déshydratation. Mon mari a fini par sortir de l'hôpital un samedi après-midi, c'était le 29 Avril 2012, pas très en forme. Il se coucha à 19h très fatigué, content d'être rentré chez lui et moi aussi bien sûr. Le dimanche il refusa de se lever et mangea très peu, le lundi fut la même chose il était très fatigué et resta couché la journée. Le mardi il se leva pour aller aux toilettes il n'a pas su se lever seul du wc, il m' appela pour l'aider à se lever, il s'était vidé de selles noires, il ne voulait pas que j'appelle le médecin de service car c'était le 1er mai, je refusais de l'écouter et j'appelais le samu qui arriva vite. Ils ont travaillé sur lui durant presque 1 heure puis l'on transporté à l'hôpital où l'on m'apprend quelques heures plus tard que son pronostic vital est engagé. J'en suis encore toute étourdie, je n'entend plus rien je me sens vide et me demande ce qui lui arrive. Là on décide de l'envoyer dans un autre centre hospitalier parce qu'il n'y a pas de place pour mon mari en réanimation. On le dirige donc sur la Belgique où là -bas il sera pris en charge. Le médecin vient me voir et me dit que mon mari est très très mal, qu'il est dialysé et intubé, qu'il ne faut pas que cela m'effraye car il a des tuyaux partout en plus des perfusions. Ce fut un cauchemar de le trouver dans cet état parce que la veille il me parlait encore. Le personnel médical travailla toute la nuit sur mon époux pour faire remonter sa tension qui n'était pas très haute à son arrivée, il décidèrent de lui faire un scanner malgré sa dialyse et quand il découvrirent une masse inquiétante, ils décidèrent de l'opérer dans la journée en urgence. Bien sûr le médecin nous expliqua qu'il y avait une chance sur deux que mon mari pouvait mourir sur la table d'opération, que de tout façon il n'avait pas le choix. Quand mon mari a été opéré, ils sont découvert un intestin nécrosé de l'estomac à l'anus. Mon mari ne se réveillera jamais de cette intervention, il décéda pendant celle-ci. J'ai réclamé à l'hôpital où il a été pris en charge, ils ont classé le dossier disant que tout avait été fait dans les règles. Enfin nous ne pouvons pas combattre ces personnes surprotégés, nous ne sommes que des numéros dans cet hôpital de m.... Aujourd'hui, je suis seule et j'ai perdu ce que j'avais de plus chère auprès de moi. Je l'aimais tellement que je le pleure encore tous les jours. Pour moi c'est une catastrophe que ces personnes ne vous écoutent pas .thyne18/05/2014, 18h09thBonjour, mimidu22, je comprends votre incompréhension concernant le décès de votre mère suite à un infarctus mésentérique. J'ai failli mourir de cette maladie. On m'a annoncé morte et ils ont tenté l'opération et grâce à une bonne réaction de la chirurgienne je suis là avec des séquelles mais là . Les symptômes je dirais qu'ils sont très délicats à définir. Pour ma part, j'étais fébrile deux semaines avant, mais hospitalisé pour mauvaise prise de sang. Ils n'ont rien détecté, ils ont recherché une embolie pulmonaire, alors donc sortie et rien d'autre. Je restais quand même fébrile avec essoufflement. Puis dans la nuit, j'ai été très malade, très mal au ventre. Etant dans le médical j'ai pris des médicaments, mais vomissements, puis selles sanglantes. Dans l'urgence j'appelle un médecin de garde et direction Urgences. Et après plusieurs heures d'attente, une chirurgienne vient me voir et m'annonce clairement que je vais mourir car c'est très grave et ils ne savent pas s'ils vont m'opérer. Donc mise sous morphine et dans ce cas je peux vous dire que je ne réagissez plus. Lorsque l'on m a dit que j allais mourir, j'ai répondu ok d accord. Puis s'en est suivi les suites voir récit plus bas.mimidu2217/05/2014, 18h51miCela fait 2 semaines aujourd'hui que j'ai perdu ma mère, tout allait bien, mais au matin douleur de ventre. Réussi à l'emmener aux urgences en fin de journée. Diagnostic infarctus mésentérique, décision opération qui ne sera pas réalisée car trop tard, plus rien à faire. Sous morphine pour calmer la douleur. Suite au coup de fil du médecin à du matin, départ au petit matin car ce n'est pas certain que l'on arrive à temps avant qu'elle parte. Longue agonie à se demander que faire pour la soulager, n'a pas réalisé que j'étais là , elle nous a quitté à Après, ces éternelles questions c'est quoi exactement ? quels symptômes ? On nous répond que c'est très rare mais fatal, pas de remèdes miracles, aucun symptôme à part les maux de ventre, mais elle avait eu une gastro 3 semaines auparavant. Maintenant était-ce vraiment la gastro ou déjà il aurait fallu faire des examens plus appronfondis ? Maintenant je me poserai la question à deux fois avant d'en conclure que ce n'est qu'une simple à tous ceux qui ont perdu un être cher, et à ceux qui pourraient avoir des symptômes identiques. Dites-vous bien que toute question ne sera plus sotte à la suite de cette 14h05thMerci, Marie pour votre témoignage, j'espère de tout cœur que votre maman aille mieux cela sera long c'est sur, mais le plus important c'est la prise en charge le plus rapide, et après un repos surtout à l'âge de votre maman. Moi j'ai 47 ans, cela fera au mois de juillet trois ans que j'ai fait cet infarctus mésentérique et j'en garde encore des séquelles surtout au niveau intestinal, depuis l'ablation d'un mètre qui était nécrosé. Ils m'avaient annoncé aussi que j'aurais peut-être une poche et je peux vous dire que lorsqu'ils m'ont dit cela, je leur ai répondu oui je m'en "fous" du moment que je n'ai plus mal et que je vive, tellement je souffrais...Bon courage à vous et votre famille..mado06/05/2014, 11h02maMerci Marie pour le témoignage, je suis bien heureuse que votre maman s'en soit sortie. Bonne 08h56maJe présente le cas de maman âgée de 78 ans hier. La veille je suis appelée par mon papa qui me dit que maman n'est pas bien, elle vomit, elle a mal au ventre, elle est pâle et a des vertiges = 8 heures du matin. Les symptômes sont apparus à 6 heures du matin après avoir bu son café qu'elle a rejeté. Il avait constaté à son réveil sa pâleur extrême. Je lui conseille d'appeler le SAMU mail il attend mon arrivée. Je constate la pâleur, les vomissement et la diarrhée et les vertiges, la fièvre est à 36. Elle me dit être constipée depuis la veille surprise et avoir pris un laxatif ! et pense avoir une gastro car elle a mangé des calamars la veille qui n'étaient peut être pas frais. J'appelle le 15 et explique les symptômes au médecin, qui me conseille d'aller à la pharmacie acheter un anti vomitif et de rappeler si besoin. Je file à la pharmacie du quartier pour voir la pharmacie de garde mais je cherche le numéro de SOS médecins, explique les symptômes. On me conseille de recueillir les urines et que le médecin arrive à 9 heures 15. Tout s'accèlère, les saignements, la paleur et les urines "rouges" sang" me font présager la gravité. Je remercie le médecin de SOS médecins qui l'a fait partir aux urgences immédiatement en ambulance. Elle subit tous les examens de sang d'urines un scanner qui confirme l'infarctus du colon. Le chirurgien et l'anesthésiste sont appelé en urgence, il est 17 heures un dimanche et l'opération est démarrée à 19 heures. On nous prévient que le pronostic vital est engagé. Les deux tiers du colon gauche sont enlevés et une partie de l'intestin grêle. Si vous n'intervenez pas assez tôt et que l'intestin grêle est entièrement touché, c'est la fin. Le chirurgien a laissé apparent l'extrémité du colon avec une poche pour pouvoir constater s'i est sain sans être obligé de réintervenir en est habituée aux douleurs mails là elle dit souffrir et râler et s'en excuse. On ne peut pas dans les pathologies digestive soulager les douleurs avec de la morphine à cause des embolies. Elle souffre beaucoup à la mobilisation car c'est nouveau il ne faut pas rester dans son lit mais se lever et rester "au fauteuil au moins dix heures par jour" des le lendemain de l'intervention. Elle a souffert aussi hier soir car on lui a fait du clapping lendemain de l'intervention . Elle est courageuse pour endurer ces douleurs et ses soins jugés dégradant changement de poche - toilette d'une vielle dame par un jeune infirmier ? La survie n'est encore pas certaine. C'est très dur pour elle et pour l'entourage de la voir souffrir et d'être dans cet état si subitement. Nous avons eu de la chance dans notre cas d'avoir un bon diagnostic de SOS médecins et par le service des urgences. J'ai rappelé le SAMU pour les "remercier pour le Vogalib"! Si je m'en étais tenu là maman ne serait plus là !Mado17/12/2013, 20h29MaMerci à Thyne de m'avoir répondu, je sais que les médecins ne peuvent pas faire de miracles, mais si ce médecin était passé à côté, vous ne seriez plus là . Je sais que ma mère avait 88 ans, son médecin n'a pas daigné se déranger. Le temps d'appeler une ambulance puis le SMUR, ma mère a fait un arrêt cardiaque dans l'ambulance vu son âge et elle était complètement déshydratée. Elle est décédée dans la dignité sans souffrance. Merçi 13h03thRéponse à Mado. Oui j'ai survécu, et non je ne vis plus pareil, surtout lorsque l'on vous dit, qu'on ne peut rien faire pour vous et que l'on va vous ouvrir et voir à l'intérieur comment cela est, mais que vous ne vous réveillerez certainement pas. Je ne dirai pas que les médecins sont des incapables, juste que c'est une maladie sournoise et tellement rare que ce n'est pas à cela qu'ils pensent en priorité. C'est toujours le diagnostic de la gastro auquel ils pensent, sauf que la douleur pour ma part était tellement forte, et étant secrétaire médicale, je sais reconnaître une gastro d'autre chose. J'ai donc insisté et je suis heureusement tombée sur une chirurgienne qui malgré son diagnostic était très qualifiée, car elle m'a sauvée la vie. D'autant que j'étais allé aux urgences deux jours avant et qu'ils n'avaient rien vu. Je sais que rien de ce que je dirai ne suffira à vous faire oublier votre souffrance. Mais d'en parler fait parfois du bien. Courage à vous. mado15/12/2013, 22h13maMa mère vient de décéder à 88 ans. Elle a vécu toutes ces années en faisant toujours attention à son alimentation, son mode de vie, alors dire que l'on est responsable à 100%, ce n'est pas vrai. Le médecin l'avait examiné 48 heures auparavant gastro. Si les médecins ne sont pas capables de discerner, qu'ils changent de métier. Je ne souhaite pas que ça vous arrive un jour et si vous vous en sortez, réagirez-vous autrement ?thyne15/12/2013, 14h09thBonjour, je réponds à Michounette, je suis comme toi, une personne qui a survécu à cet infarctus mésentérique. Oui c'est une douleur tellement violente que dans notre tête, on se dit c'est la fin, surtout quand les personnes qui vous accueillent aux urgences vous disent "on va vous opérer, mais c'est pas sûr que vous vous réveillerez"... Mais je suis là , cela fait maintenant 1 an et demi, et mon médecin dit que normalement cela ne reviendrait pas. Et pour plus de précautions, je suis sous anti-coagulant et je ne prends plus cette pilule diane 35. Ma vie a aussi changé, déjà dû a l'ablation d'une partie de l'intestin et de gros soucis qui en découlent. Mais quand j'entends des personnes qui disent que des proches sont décédés à cause d'une mauvaise prise en charge du début, cela me révolte. Pourquoi cette maladie, certes rare, n'est pas prise en compte des les premiers symptômes ?? michounette13/12/2013, 19h18miBonsoir à tous, je viens de lire vos témoignages et cela me fait pleurer, car je vois que je l'ai échappée belle ! Effectivement le 29 novembre à 13H30, j'ai ressenti une violente douleur dans le ventre et en même temps j'étais au bord de l'évanouissement avec la nausée. J'ai réussi à me lever de ma chaise et aller au lit en prenant la bassine au passage. Je me suis mise à transpirer énormément et la douleur était à son comble. Je na pouvais même pas appeler mon mari, tellement je n'avais plus de forces en à peine 10 minutes !! Puis je me suis relevée et entre 2 spasmes j'ai réussi à appeler mon mari qui est arrivé immédiatement et je le voyais au pied du lit complétement désemparé. Comme je suis malade coeliaque, je croyais que je faisais encore une crise, mais je la trouvais très forte quand même. 20 minutes après les symptômes, j'ai vomi, puis je suis allée aux toilettes. Ensuite j'ai eu très très froid, j'avais 34°2 de température, je croyais que le thermomètre ne fonctionnait plus, un peu plus tard j'avais 34°4. Mon mari a appelé le médecin, la secrétaire a dit de venir à 17 h20 car le médecin son mari ne faisait plus de visites ! il était 15 h. Je suis retournée aux toilettes par deux fois et l'odeur était bizarre, fétide c'est le mot, puis liquide. J'ai regardé et j'ai vu du sang, que j'ai fait constaté à mon mari parce que je n'étais pas sûre. Il m'a emmené chez le médecin et j'ai averti la secrétaire que j'avais des selles de sang. Quand son mari est arrivé, elle le lui a dit. Mais je suis passée à mon tour, mais après il a été extrêmement efficace, il m'a ausculté le ventre et a trouvé quelque chose de pas normal, puis il m'a fait un toucher rectal et son gant était plein de sang. il m'a dit de me revêtir et a appelé les urgences. J'y suis arrivée à 18 h 30 avec une lettre du médecin. Par contre là , c'était catastrophique, car j'avais horriblement mal et j'étais installée sur un lit où j'ai attendu jusqu'à 23 h que l'on s'occupe de moi ! De plus, une douleur dans les reins est survenue en cours de route, je me suis donc levée au bout de 2h pour aller aux toilettes et j'ai uriné du sang. Je ne comprenais plus rien, j'étais comme semi consciente en me disant que les deux côtés n'avaient rien en commun . Quand je suis revenue , j'ai interpelé une personne du service à qui j'ai dit que j'urinais du sang, il m'a répondu "c'est devant ou derrière car il faudrait savoir ! Vous êtes venue pour des selles sanglantes pas des urines !" Je n'ai pas insisté car je n'avais pas la force. J'ai demandé de l'eau, je n'ai rien vu venir !! Enfin vers 22h, on m'emmène dans un boxe où l'on me demande de me déshabiller et on m'enfile une chemise d'hôpital. Puis j'ai dû attendre la disponibilité du médecin de service à 23 h. Après on s'est occupé de moi. Je n'avais pas 36° de température, une tension à 7, un battement de cœur très ralenti. Ils ont constaté que j'urinais du sang également. Puis je suis arrivée au service de gastro à 1 h du matin. On m'a bourré d'anti-douleurs. J'ai vu la spécialiste gastro qui a détecté une ischémie immédiatement. Je suis restée 7 jours, j'ai vu le cardiologue. et on me faisait des piqûres dans les cuisses tous les jours. Je suis sortie le 5 décembre. Je suis toujours très faible, mais cela va mieux. J'ai vu mon généraliste hier et il m'a dit que cela pouvait revenir et j'ai eu peur, car je ne sais pas si j'arriverai à tenir une telle douleur. Pour l'instant, je n'ai plus de pour ceux qui ont perdu un être cher, je vous entends, je vous perçois, mais dites-vous que la douleur est d'une telle violence que l'on ne peut pas forcément résister et qu'en plus le corps réagit très vite et se dégrade très rapidement. J'ai 56 ans, je suis "habituée" malheureusement à la douleur et j'ai pu "encaisser " celle-là , mais la prochaine ??? C'est vrai que j'ai entendu le mot gasto-entérite mais comme ma tension était au plus bas, ils n'ont pas persisté dans cette voie. Je vous souhaite à tous plein de courage, c'est vrai que cette maladie n'est ni courante ni connue, et que les médecins ne sont pas tous au top ni réactifs. C'est peut-être à nous de les faire réagir car je ne suis pas la seule survivante !! Je suis là , vous pouvez me parler, je vous répondrai comme je peux. C'est plus que du courage qu'il vous faut mais de la volonté pour vous en sortir pour que cela ne se reproduise plus. Je vous prends tous tendrement dans mes bras .chevalier1007/10/2013, 10h15chBonjour, je réponds à Nadia dont je partage la douleur. Nous ne témoignons pas tous sur ce site mais je ne comprends pas ce que fait ou ne fait pas le ministère de la santé pour faire faire des stages et des formations aux médecins à ce sujet. Si nous avions déposé des plaintes pour faute médicale, nous aurions peut-être fait bouger les choses ! Nous ne l'avons pas fait, trop accablés par notre désarroi. Pour nous et ceux que nous avons aimés, il est trop tard mais d'autres personnes seront sans doute, et encore, victimes de telles erreurs...Ne peut-on rien faire ? Y a-t-il des statistiques sur ce sujet ?thyne06/10/2013, 21h25thNadia ! oui je sais combien cela doit être dur pour vous et la famille. Mais tu parles de déboucher les artères si elle avait survécu, elle est décédée d'un infarctus de quoi ?? Mais je confirme que malheureusement il n'est pas possible de faire la différence entre gastro et infarctus mésentérique. Mes symptômes ont été les mêmes mais en plus violents. Maintenant, avec le recul, je recherche ce que j'ai pu avoir avant comme symptômes. J'étais pas bien dans la semaine qui précédait, mais sans plers. Pour avoir fait des recherches on ne peut malheureusement pas diagnostiqué l'infarctus de suite. Courage à 17h51NaBonjour à tous. Cela va faire deux semaines, j'ai perdu ma grand-mère dans à peu près les mêmes conditions. Apparemment, le soir, elle avait des maux de tête et le matin elle a commencé a avoir des maux de ventre ainsi que des vomissements. Et aussi elle avait des douleurs au dos et n'arrivait plus à s'allonger car ça lui faisait trop mal. Ma mère qui était venue lui rendre visite ce matin-là l'a emmener chez son médecin traitant qui a diagnostiqué une gastro. Elle est est repartie avec des médicaments pour la gastro. Arrivée chez elle, elle les a prit mais à tout revommit de suite. Ces douleurs et vomissements ont duré comme ça toute la matinée et début d'après-midi, mais le médecin ayant diagnostiqué une gastro, ma mère qui est restée avec ma grand-mère tout ce temps n'a jamais pensé un seul instant que ça pourrait être autre chose de plus grave. Et la tragédie est arriver en fin d'après-midi alors qu'elle était assise dans son canapé. Elle a dit à ma mère qu'elle ne se sentait pas bien, s'est effondrée et a poussé 2 soupirs. Ma mère a pensé à une perte de connaissance sans gravité, mais à appelé le samu quand même, qui selon elle a prit du temps pour arriver. Le samu a tenté un massage cardiaque pendant 15 min mais rien, un médecin allait annoncer l'heure du décès, mais en voyant la détresse de ma famille ils ont retenté un massage cardiaque et ils ont pu avoir un pouls. Donc le samu l'a emmenée à l’hôpital, mais en donnant peu d'espoir à la famille. A l’hôpital, au moment de l'emmener au bloc pour lui déboucher les artères, elle à refait un arrêt cardiaque et nous à quitté à jamais. Aujourd'hui, j'ai beaucoup de mal à faire mon deuil, mais surtout j'ai du mal à comprendre comment un médecin peut confondre un infarctus avec une gastro. Je souhaite bon courage à tout le monde qui a eu une expérience comme 12h25thBonjour, oui c'est sûr que c'est une maladie qui n'est finalement pas si rare, mais tellement mal diagnostiquée. Moi personnellement, j'aurais aimé aussi avoir sur ce site, des témoignages de personnes qui ont survécu à cet infarctus mésentérique, mais déjà de pouvoir en parler cela fait du bien. C'est bien que des personnes puissent témoigner, c'est sûr aussi que cela n'apporte qu'un maigre soutien aux personnes qui sont malheureusement décédées du fait de la mauvaise prise en charge. La maladie fait beaucoup penser à une gastro-entérite, d'où le mauvais diagnostic ou tardif. Mais faut surtout se dire que cela arrive tellement subitement qu'il ne faut pas s'en vouloir de ne pas y penser de suite. Courage à 16h51géTout d'abord, je veux témoigner de ma sympathie à "chevalier 10", et la remercier de communiquer sur l'épreuve qu'elle subit. La lecture depuis l'origine des messages publiés sur le site m'a permis de comprendre le mécanisme de cette maladie sournoise et peu connue, mais malheureusement pas si dire que cela m'a apporté un certain réconfort, et j'en suis reconnaissant envers les responsables du site et tous ceux qui l'ont regrette que cet infarctus soit si peu connu et que même des médecins diagnostiquent une gastro 21h59chJ'ai aussi perdu mon époux dans des conditions tragiques. Il avait déjà été victime de plusieurs occlusions intestinales et d'une nécrose du colon découverte par hasard. Le samedi après-midi, il a déclaré avoir la diarrhée ; le dimanche, diarrhées, vomissements, puis en fin de journée hoquets incoercibles. J'ai pensé à une occlusion.... Le lundi matin, il était pâle ; le médecin traitant consulté et qui connaissait ses antécédents l'a traité pour une gastro-entérite. A minuit, il s'est couché en déclarant aller de plus en plus mal. J'ai songé un instant appeler le Samu et le faire hospitaliser au Val de Grâce où il avait été précédemment opéré des occlusions. Mais l'idée de consulter dans la nuit, et de le confier à un interne, m'a fait hésiter. J'ai décidé d'attendre 6h du matin pour être à l'hôpital à 7h et pensant que les urgences feraient les examens nécessaires avant l'arrivée du "patron" à 8 h. Hélas, à 4h20 du matin, ce fut l'issue fatale l'hémorragie a été violente par les voies inférieures et supérieures. Il est tombé à mes pieds alors que je l'accompagnais aux toilettes il n'avait pas la force d'y aller seul. Je pense que les médecins ne sont pas assez formés et informés au sujet des pathologies du mésentère, contrairement au USA où cette pathologie est bien enseignée. Si le diagnostic avait été correct le lundi matin, peut-être aurait-il survécu... Il m'est difficile d'accepter cette erreur car mon époux avait une pathologie intestinale 08h33thRéponse à Milou, il ne faut pas vous en vouloir, car c'est une maladie si on peut dire qui vous arrive comme cela, sans prévenir, les symptômes, sont souvent celui d'une douleur abdominales. Moi personnellement comme expliqué dans le message, je pensais que c'était l'Augmentin, qui ne passait pas et qui me donnait des maux d'estomac et intestinaux. Et c'est en prenant Spasfon etc qui ne passait pas et me faisait vomir, que je me suis inquiété. Et surtout lorsque j'allais à la selle et que c'était du sang. Mais c'est vrai que tout les médecins, que vous verrez vous diront que ce n'est pas à l'infarctus mésentérique qu'ils pensent en premier, mais à une gastro ou autre. Moi j'ai peut être eu la chance d'avoir un médecin remplaçant qui ne sachant quoi faire, m'a envoyé aux urgences, et comme je souffrais beaucoup, j'ai souvent demandé à voir quelqu'un aux urgences, d'où la visite d'une chirurgienne en viscérale ; apparemment grâce à elle, l'infarctus à été étudié comme possibilité à confirmer ensuite. Mais malgré cela, elle m'a quand même annoncé que je ne résisterai pas à l'opération et ne me réveillerai pas. J'ai survécu avec bien sur des séquelles, mais oui je suis en vie, je me suis vue morte, mais à ce moment là , j'avais tellement mal que je ne demandais que cela de mourir, pour ne plus avoir mal..Surtout arrêtez de culpabiliser, de vous dire que vous n'avez pas été assez réactive, il faut essayer de passer à autre chose...je sais c'est facile à dire pour moi, j'y ai survécu physiquement, mais je reste moralement très affecté, car quand cela vous arrive, vous vous dites pourquoi moi ?Bon courage. 27/05/2013, 21h23miMon mari n'avait que 48 ans, la vie est trop injuste, nous étions en vacances je m'en veux vraiment de n'avoir pas été réactive aux première heures. Je ne me le pardonnerai jamais. thyne26/05/2013, 20h23thMessage pour Gébé et Milou Merci Gébé, oui on peut dire que j'ai échappé à une issue fatale, et apparemment pas que grâce à mon âge, mais aussi au fait que j'ai peut-être réagi assez vite au regard des douleurs que j'avais et aussi au fait que je n'avais aucun autre souci de santé. enfin, je suppose mais, c'est sur que l'âge et la résistance physique jouent pour beaucoup. Quoique lorsque cela nous arrive, on ne pense qu'à une chose, c'est mourir pour être soulagé de cette atroce douleur cela doit être très dur effectivement et comme dit Gébé, vous ne précisez pas l'âge, mais qu'importe, en même temps l'âge de la personne, c'est un être que l'on aime et qui nous quitte brutalement pour une foutue maladie qui nous tombe dessus comme cela. Je vous souhaite à tous les deux, beaucoup de courage, pour remonter la pente et surtout essayer de passer à autre chose, mais sachez que cela arrive tellement vite, et aussi impossible de savoir de suite que c'est cette maladie qui nous tombe dessus, que nous ne pouvons malheureusement pas faire grand chose....Gébé26/05/2013, 11h14GéJe réponds à Thyne du 13/05/13 et Milou du 24/05/ vous avez échappé à l'issue fatale, et je pense que c'est grâce à votre jeunesse. Je vous souhaite un prompt rétablissement. Je vous remercie pour votre témoignage très détaillé qui confirme combien cette attaque est sournoise et difficile à Je comprends votre souffrance et votre tendance à culpabiliser, j'ai connu cela moi aussi. Des médecins de mon entourage m'ont aidé à m'en affranchir peu ou ne précisez pas l'âge de votre mari, ma femme avait 70 ans, elle n'avait aucune pathologie, et rencontrait régulièrement son médecin, sauf qu'il n'était pas libre quand il aurait fallu. Dites-vous que c'est une fatalité ; cette maladie ne prévient pas, elle est extrêmement brutale et ses symptômes sont sournois car ils peuvent être confondus avec des signes propres à des affections 16h08miBonjour, j'ai perdu mon mari le 8 mai 2013 pour un infarctus vraiment du mal à m'en remettre, je cherche à savoir le pourquoi du comment, trouver une explication. Mais même les médecins ne l'explique a été pris le mardi 7 mai de douleur abdominale et comme il étais sous traitement, il pensait que c'était des effet indésirables. J'ai insisté pour l'emmener aux urgences. Il ne voulait pas. Ce n'est que le lendemain matin 9 h qu'on l'a emmener aux urgences ; le diagnostic est tombé trop tard. Quand il a été opéré à 13h30, il était déjà inconscient. Il a fait deux arrêts cardiaques sur la table et le troisième en réanimation, ce qui lui a été fatal. Aujourd'hui, je culpabilise car j'aurais dû le traîner de force à l'hôpital. Il aurait sûrement survécu à cette opération. Je suis vraiment désespérée et je ne fait que pleurer. thyne13/05/2013, 14h55thBonjour gégé, je réagis un peu tard, mais j'ai moi-même subi un infarctus mésentérique, donc faut beaucoup de recul pour en parler plus facilement, je commence seulement à remonter. J'ai eu cette saleté d'infarctus en juillet 2012. Et tout comme beaucoup de personnes, la chirurgienne m'a clairement dit que j'allais mourir. Eh oui, pas facile d'entendre et après de se vais commencer, par le début de mes symptômes. Mi-juillet, j'ai commencé à tousser, un peu et d'être vite essoufflé, avec des sueurs nocturnes très intenses, j'étais trempé toute les nuits. Travaillant en tant que secrétaire médicale chez des médecins généralistes, j'ai demandé une radio poumons et pris de l'Efferalgan. La radio a relevé un début de pneumonie assez banale, j'ai donc continué à travailler et devant l'insistance de mon essoufflement, demandé une prise de sang qui m'a relevé un taux de D-Dimères très élevé. Comme je travaillais le jour des résultats, mon patron et donc mon médecin, m'a envoyé directement aux urgences de l'hôpital car il craignait une phlébite ou voir embolie pulmonaire. je suis donc allée aux urgences je passe sur l'accueil des urgences. Arrivée la-bas, ils me font des examens complémentaires avec angio-scan thoracique à la recherche d'une embolie pulmonaire qui s’avère négatifs, prise de sang avec toujours taux de D-Dimères positifs, mais finalement me donne Augmentin et me font sortir en me précisant que si cela ne va pas mieux le lundi je dois précise on été vendredi soir, le lendemain, je vais travailler. Pas de souci, l'après-midi, je vais chez mon compagnon à 140 km de chez moi et rien mise à part toujours cet essoufflement intensif et mes pieds glacés. Dans la nuit du dimanche à lundi, j'ai été prise de maux de ventres très intenses. Ayant pris de l'Augmentin, je me suis dis, c'est l'estomac qui déraille, j'ai donc pris du Spasfon, etc. Mais rien ne faisait passer le mal, je téléphone à mon médecin et il me dit que je dois prendre du Spasfon, mais cela ne passe toujours pas et de plus en plus mal avec aussi selles sanglantes. J'appelle donc un médecin que je ne connais pas puisque pas de mon secteur ; celui-ci après auscultation m'envoie aux Urgences de Valenciennes et là commence mon cauchemar et en même temps merci à eux, qui m'ont mon arrivée après plusieurs examens, ils m'ont annoncé qu'ils pensaient à un infarctus mésentérique, mais que cela m'étonnerait que je survive, car ils ne savent pas ce qu'ils vont trouver une fois mon ventre opéré. Donc, prévenir mon ami, ma famille qu'il faut qu'ils viennent me voir, car je ne me réveillerait certainement pas et me le disent je vous avouerai qu'à ce moment là , on a tellement mal que l'on ne fait plus trop attention à ce que l'on nous dit. Après 6 heures en salle d'opération, je me réveille Eureka pour ma famille, pas pour moi au début, car ils m'ont enlevé mon intubation. Ils pensaient que j'aurais réussi, mais erreur, au bout d'un jour, j'ai supplié que l'on me réintube car j'ai fait sur cet infarctus mésentérique, une pneumopathie, donc plus moyen de respirer. Au total, je suis restée 7 jours en réanimation, 2 jours en soins continue et 5 jours en hospitalisation. Je peux dire merci à la Chirurgienne qui m'a diagnostiqué de suite ce truc de merde, je me suis aussi battue pour mon chéri et ma famille. J'ai mis deux mois pour que ma cicatrice se referme ablation agrafe trop tôt en réa. Cela fait 10 mois que je suis en arrêt maladie, toujours fatiguée, avec de gros problèmes intestinaux, car ils m'ont prélevé 1 mètre d'intestin qui était totalement nécrosé. Et surtout ils ne savent pas de quoi cela peut provenir. Car je ne fume pas, je suis encore jeune 46 ans et une vie normale. Donc toujours en recherche de la cause avec des médecins spécialistes en génétique et aussi un doute sur cette pilule dont on a tant parlé...Voilà , un peu mon histoire. Cordialementgébé05/09/2012, 11h19géMerci à témoignage m'a beaucoup touché et conforté dans ma conviction que cette maladie était fatale et peu connue, même des praticiens. Je n'ai pas de ressentiment envers le médecin de SOS qui n'a pas fait le bon diagnostic mais j'ai décidé de changer de médecin traitant, car ce dernier n'a pas répondu à ma demande pressante et argumentée de rendre visite à une patiente qu'il connaissait pour ne pas le déranger sans motif de tout coeur, et acceptez mes sincères condoléances pour votre propre 09h33daBonjour, j'ai perdu ma mère, l'année dernière, pour les mêmes raisons, mais pas dans le mêmes conditions. Cependant, le résultat fut le même. Je m'explique. Dès les premiers symptômes, un mal de ventre très violent et des sueurs, j'ai appelé le SAMU, ma mère étant habituellement très en forme à 75 ans. Ils l'ont transporté à l'hôpital, les médecins n'ont malheureusement pas su faire le diagnostic à temps et 24 h plus tard et 5 arrêts cardiaques, maman s'est éteinte. Nous étions dans un petit hôpital, le personnel n'a pas pensé à l'infarctus mésentérique à ce moment là , ils croyaient plutôt à une embolie...Sachant cela, peut-être aurez-vous moins de rancune envers ce médecin un peu trop confiant, car même s'il s'était déplacé, aurait-il fait le bon diagnostic, j'en doute quand on voit les statistiques... Bon courage, que votre douleur s'apaise dans l'amour de celle qui vous a quitté. Daniegébé06/06/2012, 22h26gépour laura 59. Bon courage à vous, et merci de transmettre une information sur cette terrible maladie, car cela m'intéresse au plus haut point, je n'ai pas encore "digéré" le décès brutal de mon épouse. J'espère que vous me tiendrez au courant, et je vous en remercie. Avec toute ma 13h27laBonjour, mon père, âgé de 60 ans, a présenté des signes d'infarctus mésentérique, comme pour vous, le diagnostic s'est arrêté sur une gastro entérite... Quelques jours plus tard, mon père s'est retrouvé aux urgences pour cet infarctus... heureusement, il a été pris à temps, cependant, aujourd'hui, 1 mois après l'intervention, les signes reviennent de plus belle, verdict ce soir après le scanner ...Bon courage à 11h57liJe crois n'avoir pas été clair dans mon expression "nous sommes responsables à 100%". Ce que je voulais dire c'est que nous sommes responsables de notre santé et nous de devons pas avoir peur de nous exprimer doutes, suggestions de diagnostiques etc... devant le corps médical. Je demandé à un ami chirurgien ce qu'il pensait de la difficulté de diagnostiquer un infarctus mésentérique. Il m'a dit que ce diagnostic n'était pas évident à faire et qu'il fallait des examens complémentaires pour arriver à déceler un infarctus troubles liés à un infarctus mésentérique peuvent mettre 48 heures à se manifester et dans ce cas m'a t'il dit il est bien souvent trop tard. Cordialement gébé15/03/2012, 11h57géC'est bien la question que je me maladie peut elle être détectée avant qu'il ne soit trop tard? Existe-t-il des signes avant coureurs? Mon épouse était suivie régulièrement pour des problèmes habituels de son âge, mais elle était particulièrement active et avait été vue par un professeur en cardiologie qui avait décidé de fixer la prochaine visite à échéance de cinq contre, ce que je n'admets pas, c'est l'attitude du médecin traitant qui ne s'est pas déplacé alors que connaissant très bien sa patiente, il savait qu'elle n'avait jamais sollicité une visite à domicile , même après que je lui ait rendu visite le soir du premier jour pour lui apprendre que l'état de sa malade ne s'améliorait pas et lui rapportais exactement les symptômes. Précision nous habitons en plein n'admets pas non plus que vous puissiez dire que nous sommes à 100% responsables de notre femme menait une vie régulière, elle se préoccupait de sa santé. Je considère qu'elle a été victime d'un accident fatal mais il est indéniable que la réponse de la médecine n'a pas été à la 17h07liVotre témoignage m'a touché. Je pense en effet que les médecins sont compétents mais que c'est à nous de prendre en main notre santé. Notre corps est la seule machine dont notre vie dépend à 100% et dont nous sommes 100% responsables. Je ne pense pas qu'il faille se substituer au médecin bien loin de là mais analyser ses symptômes et essayer comprendre ce qui se passe est la moindre des choses. Pensez-vous que si le corps médical avait pu diagnostiqué un infarctus mésentérique à temps elle aurait pu être sauvée ?
Aller tout en bas au dernier message - Répondre au message - Retour au forum sur la course à pied Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par invité le 13/06/09 à 162840 Bonjour, Je vais commencer ma prépa marathon, et je me demande ce que je pourrais manger le matin vers 7h30 pour un départ à 9h00 en sortie longue 1h30 à 2h20 de CAP. Je courre toujours à jeun, car je deteste me sentir ballonné en CAP, mais pour une sortie de plus 1h15, je pense qu'il va me falloir un p'tit dej. J'ai l'impression que je digère assez mal le lait, donc à éviter. Quels aliments sont à privilégier? Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par jerome81 membre le 13/06/09 à 163223 Deja, moi c'est simple, je coures jamais à jeun parcque c'est de la connerie pure et dure, ensuite, je le matin, je mange une pomme, un bole de café, de la charcuterie, du pain ou croissants et du fromage. Ensuite je vais faire de la muscul, ce qui permet un peu de digerer tranquile et aprés je vais courir, a l'aise, relax, bien dans mon slip ! Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par invité le 13/06/09 à 163611 ok à jeun c'est de la connerie mais si je ne subit pas d'hypoglycemie et que je me sents mieux à jeun pour des temps de CAP entre 1h et 1h15, c'est quoi le problème? J'entends parler de risque de tendinite? en quoi le fait de courrir à jeun tout en s'hydratant provoquerais des tendinites? Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par jerome81 membre le 13/06/09 à 164615 Tout simplement si tu depnse de l'energie il faut que tu donnes du carburant. A jeun , c'est pour les gros qui veulent tapper directement dans les graisses. Deplus, tu ne peux pas faire du travail de qualité sans energie, alors si tu fais une sortie 1h15 à jeun en mode footing deja ça te sert a rien. Tu veux faire une sortie tranquile, relax, ambiance endurance depasse pas 1h00. VMA, sorties longues, allure specifique, seuil impossible à faire avec rien dans le bide. Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par kit&kat invité le 13/06/09 à 165236 Moi avant course longue 2h00 le dimanche pti déj à 7h30 à peu près suis pas là à calculer le top départ non plus. Alors c'est jus de citron chaud - 3 abricots secs et 2 crakott - café et zou - nickel - Pour ce qui es de courir à jeun, bon tout dépend de chacun, mais ça me parait dure de faire de faire sortie de qualité!! Comme dit jérôme, idéal pour perdre sa masse grasse au début d'un régime et encore!!! ça fatigue - Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par invité le 13/06/09 à 165426 mouai, je suis quand même un peu perplexe, ce matin j'ai fais mes 10x400m à 100% VMA à jeun et pas de soucis particuliers. De l'allure spé à jeun, j'en fait toutes les semaines et ça va. Et comme je disais, je ne dépasse pas 1h15 d'entrainement au total echauf, séance + récup. Je prends soins de consommer des sucres lents la veille au soir quand meme, j'ai pas qu'un potage dans le bide! Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par invité le 13/06/09 à 165729 mais bon, je ne suis pas tétu et je vais re-tester un petit-dej adapté mais sans lait quand même! jus de fruit + café + pain/miel, on verra bien. Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par kit&kat invité le 13/06/09 à 165953 Exact qu'avec sucres lents la veille, pour 1h15, c'est bon - comme moi qu'en j'abuse des kit&kat !!!! lel endemain jogg à jeun juste pour les éliminer et zou, y en a plus Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par gogo02 invité le 13/06/09 à 191338 depuis environ 2 mois je déjeune beaucoup moins et je me sens mieux, sortie environ 1h30 -1h45. je prends une pâte d'amande au cas ou. Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par despates invité le 13/06/09 à 191418 despates Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par invité le 13/06/09 à 201747 Un verre d'huile de ricin comme pour ta meule... Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par chrisAA invité le 13/06/09 à 201938 pas trop d'accord avec c qui a été dit. Je ne sais pas si on peut appeler ca a jeun en mangeant une banane avant en tous cas c'est pas loin, mais je fais ca 2 fois par semaine tot le matin et ca me reussit bien. Quel coureur de ce forum peut se payer le luxe de dire je n'ai pas besoin de perdre de la graisse? pas grand monde, je fias pour ma part 72 kilos pour 1,8m et j'aimerais bien reduire encore mon %tage de masse grasse. Je dois etre vers 12 alors que les top runners sont dans les 6 non? bref, taper dans la graisse, c'est un bon point, qui plus est je ne vois aucune contreindication a courir a jeun, quand tu dois te depecher le matin avant le taf je ne pourrais pas m'enfiler un vrai petit dej et aller courir en pleine digestion. A choisir, 1000 fois mieux etre a jeun Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par chrisAA invité le 13/06/09 à 202238 ah oui aussi quand je cours un semi marathon le matin, je ne mange qu'une banane deux heures avant, et bien le corps stocke suffisamment de reserves, y a pas de soucis je n'ai jamais connu de faiblesse. Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par Vince 22 invité le 13/06/09 à 204637 Chris AA allez rien que pour me faire plaisir. Je peux me permettre ce luxe de ne sans dout plus avoir trop de graisse 1m82, 66,5kg en ce moment en fin de prépa marathon. Je me bats plutôt pour maintenir ma masse musculaire. En dessous, je sens que je fatigue trop. Tout dépend du métabolisme de chacun. Pourtant je mange énormément mais très peu de graisses animales sauf poisson et produits laitiers. Le matin, en cas de sortie longue, je prends du gâteau sport confectionné par mes soins + un café. Départ possible 1 heure après mais plutôt 1h30-2h dans l'idéal. Sinon tu sens quand même un peu le travai de digestion. Mais depuis 2 mois, j'ai réglièrement pris l'habitude de faire ma sortie longue l'après-midi départ vers 16h30 Je mange tôt le midi et ça évite de se lever tôt et d'attendre de pouvoir courir Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par Lolos membre le 13/06/09 à 205533 Vince22 c'est pas la peine de nous mettre les boules. je fais 1,80 pour 72 kg donc il faudrait que je parte a jeun!! Si digestion difficile je testerai genre gâteau sport, a faire soi même ça coûte moins chères Moi j'ai pas trop de soucis avec la digestion pour les sortie longues. et mes sortie ou je tape dedans je les fait le soir. Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par Ryle invité le 13/06/09 à 210556 Selon mon expérience et uniquement la mienne car personne ne réagit de la même façon, je n'ai aucun soucis à courir à jeun et j'ai fait toutes sortes de sorties, mais surtout mes sorties longues du week end entre 1h30 et 2h, sans jamais avoir une seule fois eu un problème de faiblesse ou autre durant deux ans. Cependant j'ai arrêté depuis quelques mois, car il me semble vrai que le corps est fragilisé 1 tendinite ou quelque chose du genre au talon d'achile en 2008 surtout dû à une déficience en hydratation mais aussi je pense à cause de ce type de sorties et surtout outre le fait que j'ai tapé dans le gras, j'ai aussi tapé dans le maigre. Et n'étant pas d'un naturel obèse à la base loin s'en faut, je n'ai nullement besoin de cela. Donc maintenant, je déjeune comme le reste de la semaine, un gros bol de chocolat chaud remplis de différentes céréales puis je pars courir environ 1h30-2h plus tard. la première demi-heure je sens une légère contrariété et puis les 60 ou 90min après ça roule tout seul. Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par gelindo invité le 14/06/09 à 083445 Je cours toutes mes sorties de moins d'1h20 a jeun depuis 5 ans, jamais eu de tendinites. Par contre j'ai mon camel bag, et je m'hydrate tout le long. Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par Cyril membre le 14/06/09 à 085102 On parle de sorties longues ici, certains répondent complètement à côté de la question. Pour ma part quand je prépare un marathon je ne prête pas spécifiquement attention à mon alimentation mais par contre je prends toujours un petit déjeuner avec des sucres lents. Quoi manger le matin avant sortie longues +1h30 par Vince 22 invité le 14/06/09 à 092801 Pour ceux que ça ne dérange pas, il y a aussi le break-fast à l'anglaise pris vers 9h0-10h00 plutôt jambon blanc que bacon et oeufs cuits avec un peu d'huile d'olive plutôt qu'une tonne de beurre cramé, quelques tomates cerises, un bol de céréales avec yaourt, 4 tranches de pain avec miel, un grand café qui permet de courir vers 14h00 quand tout le monde mange le dimanche. Ca permet une ballade symp en famille avant d'aller courir. Bonne collation au retour, et l'équilibre alimentaire n'est pas sacrifié repas du matin ressemble à celui du midi et la collation ressemble à un petit dej. Il ne faut pas être prisonnier des habitudes alimentaires françaises. Répondre au message - Retour au forum sur la course à pied Forum sur la course à pied géré par Serge
© Pixabay Vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressemblent les mots et phrases prononcés par les personnes qui parlent en dormant ? C’est à cette question qu’ont voulu répondre des spécialistes français du sommeil qui publient les résultats de leur recherche dans un article daté du 5 octobre 2017 de la revue Sleep. Cette étude est la première à décrire les caractéristiques syntaxiques et sémantiques du langage nocturne. Le moins que l’on puisse dire est que celui-ci se déroule dans un climat le plus souvent tendu et utilise un vocabulaire familier, voire vulgaire et même parfois violent. On estime qu’environ 66 % des adultes ont déjà parlé en dormant mais que 6 % parlent au moins une fois par semaine. La plupart des adultes qui parlent pendant leur sommeil parlaient la nuit durant leur enfance. Le fait de parler en dormant somniloquie est également réparti entre garçons et filles et est principalement familial. Les vocalisations verbales surviennent au cours du sommeil lent et du sommeil paradoxal. Ce dernier correspond au moment où l’activité onirique est la plus intense et la plus débridée. Il est appelé paradoxal » car l’individu présente simultanément des signes de sommeil très profond disparition totale du tonus musculaire et des signes d’éveil mouvements oculaires rapides, respiration irrégulière, activité cardiaque élevée. Ce stade représente environ 25 % du temps de sommeil total. Quant au sommeil lent également appelé non paradoxal, il correspond dans un premier stade à un sommeil léger 50 % du temps de sommeil total, qui n’est donc pas très profond, auquel fait suite un sommeil où il est difficile de réveiller le dormeur qui est alors isolé du monde extérieur 20 % du sommeil total. Les vocalisations nocturnes sont plus fréquentes chez les personnes présentant des troubles du sommeil parasomnies, tels que le somnambulisme, les terreurs nocturnes, le trouble comportemental en sommeil paradoxal TCSP qui se manifeste par des cauchemars agités nocturnes. Le TCSP se traduit par des comportements nocturnes anormaux pouvant gêner le conjoint, soit par interruption du sommeil, soit par les blessures qu’il peut lui infliger. Il existe deux types de TCSP, l’un associé à une affection neurologique le plus souvent, la maladie de Parkinson, l’autre dit idiopathique », sans maladie neurologique associée. Des mots, des phrases, des cris, des chuchotements L’étude a porté sur 129 patients présentant un TCSP idiopathique ou associé à une maladie neurologique, 87 somnambules, mais également 15 personnes saines et un sujet soufrant d’apnées du sommeil. Elle a été conduite dans le service des pathologies du sommeil de l’hôpital Pitié-Salpêtrière Paris dirigé par la professeure Isabelle Arnulf. Un micro d’ambiance, situé à un mètre de la tête des participants, enregistrait leurs vocalisations. Le sommeil et le comportement nocturne de ces 232 patients ont été analysés par vidéo-polysomnographie mesure de plusieurs variables physiologiques dont les rythmes respiratoire et cardiaque, l’électroencéphalogramme, activité musculaire. Sur les 883 vocalisations nocturnes enregistrées, 361 41 % contenaient des mots isolés et des phrases, le reste étant composé de marmonnements, de chuchotements, de sifflements, de grognements, de rires et de cris. Les mots et phrases ont été analysés en collaboration avec l’équipe du Pr Alain Duvevey école d’orthophonie de l’université de Franche-Comté et de la professeure de linguistique Frédérique Gayraud Université Lumière, Lyon. Non », mot le plus utilisé Parleur nocturne sommeil lent. Photo aimablement communiquée par la Pr Isabelle Arnulf. Globalement, un participant a prononcé en moyenne 22 mots au cours de la nuit, sans que l’on observe de différences entre les somnambules et les individus présentant un trouble comportemental en sommeil paradoxal TCSP. Il ressort que les paroles nocturnes, séparées par des intervalles paisibles de plusieurs minutes, révèlent un dialogue tendu, souvent négatif, mais aussi plus vulgaire que celui utilisé dans la journée. Les mots les plus souvent prononcés par les parleurs nocturnes ont été non », pas », merde », putain ». Le mot non » a été trouvé dans 21 % des phrases, survenant plus fréquemment lors du sommeil lent Non non non non ! Non fais pas ça », Non non eh arrête arrête arrête eh ». Chez ces parleurs nocturnes, la fréquence des phrases négatives est bien plus élevée que dans le langage parlé en français dans lequel le non » ne représente que 0,4 % des mots utilisés. Au total, l’ensemble des formes de négation non », ne », pas », plus » représentaient 9,1 % des mots émis pendant le sommeil. Les chercheurs ont révélé que 26 % des vocalisations nocturnes sont des interrogations, et que 9,7 % des phrases sont des jurons. Ces derniers, comme les phrases interrogatives, se produisent plus souvent lors du sommeil lent que pendant le sommeil paradoxal. Parmi tous les mots prononcés les chercheurs en ont recensé 3349, les exclamations, notamment oh », ah », eh », hue », hou », tss », oh la la », ouh, la, la », pft », représentaient 46 % du total. Les hommes plus bavards que les femmes Les hommes parlent significativement plus que les femmes dans leur sommeil. Ils prononcent en moyenne 26 mots par nuit contre 16 pour les femmes. Les chercheurs ont observé une grande variabilité entre individus de même que d’une nuit à l’autre pour une même personne. Par ailleurs, en comparaison avec les femmes, les hommes emploient un plus grand nombre de mots grossiers. Le langage nocturne n’est pas toujours compréhensible du fait que les gens marmonnent, sifflotent ou parlent dans l’oreiller. Il apparaît que les conditions nécessaires à un langage normal avec échange verbal intelligible ne sont pas réunies pendant plus de la moitié du temps où la personne parle durant son sommeil. Cela suggère que le système phonatoire qui permet d’articuler clairement dans la journée n’est pas totalement opérationnel durant le sommeil. Qu’en est-il des vocalisations nocturnes compréhensibles ? Il s’agit d’un langage familier, mais composé de phrases correctes sur le plan grammatical. Il utilise fréquemment la deuxième personne Tu », comporte un plus grand nombre de verbes à la forme impérative lors du sommeil paradoxal et plus de questions lors du sommeil lent. Il respecte le tour de parole avec une pause entre les échanges verbaux correspondant à un temps de silence lorsque l’on écoute son interlocuteur. Dialogue tendu Parleuse nocturne sommeil paradoxal. Photo aimablement communiquée par la Pr Isabelle Arnulf On observe chez le parleur nocturne une fréquence élevée de négations, d’exclamations, de questions et de grossièretés, ce qui témoigne de conversations tendues dans des situations de conflit. Certaines phrases utilisent le subjonctif ou le conditionnel. Cette complexité suggère que les langages lors de l’éveil et du sommeil utilisent les mêmes voies neuronales. Les chercheurs ont remarqué la répétition de certaines paroles nocturnes. La personne qui parle en dormant peut se montrer insistante Qu’est-ce que t’en penses ? Qu’est-ce que t’en penses ? », Mais non, mais non ». Il existe aussi beaucoup de répétitions Pousse-toi, Pousse-toi », voire de triplications C’est quoi, C’est quoi, C’est quoi? ». Celles-ci plus fréquentes que dans le langage d’éveil, comme si les personnes n’étaient pas sûres que l’autre ait compris ou qu’il faille vraiment insister. Putain », merde » Les gros mots étaient significativement plus fréquents en sommeil lent 15,1 % qu’en sommeil paradoxal 4,9 %. Lors du sommeil lent, les phrases avec grossièretés représentaient jusqu’à un tiers des phrases prononcées. Putain » et merde » sont ainsi retrouvés beaucoup plus souvent que dans le langage d’éveil. Ce qui donne, entre autres Putaaaain oh fait chier », Non putain quelqu’un m’entend ? », Aïe aïe aïe aïe putain, putain, putain, putain, oh putain ! », Putain, qu’est-ce que c’est que ça », Puuu-tain ! Putain, c’est quoi, ça ? », Putain, j’entends plus rien ! », J’ai mal, putain ! ». Concernant le mot merde », les chercheurs ont notamment enregistré Merde merde merde merde merde merde pas toi pas toi pas toi », Ha oh merde hein ? Oho ? », Oui ou merde ? », Oh merde, je peux pas les attraper », Ah mince, y a rien, merde », sans oublier Tu te démerdes », Ah ouais j’vais foutre la merde ». Quant à l’association de deux termes, cela donne parfois Pff putain merde ! » ou Putain merde ! Oh putain ». Selon les cas, les parleurs nocturnes sont entreprenants, tendres, voire coquins Bon, est-ce qu’on vous a dit que vous étiez mignonne ? », Comment te l’dire, j’aimerais bien qu’tu m’donnes un p’tit baiser », Faire un bébé à Stéphanie de Monaco », tandis que d’autres sont carrément vulgaires Splash dans ton cul », Bouge ton cul ». Violence verbale La violence verbale, sous forme d’insultes ou de propos de condamnation, dure plus longtemps et survient plus souvent pendant le sommeil paradoxal. Nous avons enregistré un plus grand nombre d’insultes avec un langage grossier t’es un connard », bordel, t’as plutôt intérêt à que cela arrive » en sommeil paradoxal, alors que l’on a trouvé plus de jurons merde », putain » en sommeil lent, ce qui suggère que ces stades de sommeil gèrent des fonctions différentes. Le sommeil lent pourrait correspondre à des menaces plutôt physiques, comme un plafond qui s’écroule. Quant au sommeil paradoxal, il serait plus social, plus interactif, avec plus de violence verbale », déclare la Pr Isabelle Arnulf. La violence verbale peut également se manifester sans que des mots grossiers soient prononcés, comme en cas de dénigrement espèce de fonctionnaire ! », T’as vu ces deux là ? » ou de menace Te fous pas de ma gueule”, Oh, mais je vais lui casser la gueule ». Des paroles peuvent être brutales Casse toi, tu pues », Ta gueule ! ». Elles peuvent comporter des répétitions Hein, qu’est-ce que tu fais là ?, Qu’est-ce que tu fais ? Sacré connard ! », des intonations appuyées Fous moi la paix, enfiiiin ! », des accents d’insistance Arrête ça tout de suite, Quand tu es ici, tu arrêtes », des gestes accusateurs pointer du doigt, des sarcasmes souffler, ricaner, claquements de langue. Les chercheurs font remarquer que les patients avec TCSP prononcent plus de condamnations, exercent plus de pression sur l’autre et ont plus recours à la violence verbale que les somnambules. Dans un premier temps, les chercheurs avaient recruté par voie d’annonce 16 patients qui disaient être de gros parleurs nocturnes. Il s’est finalement avéré que ces personnes ne parlent pas énormément durant leur sommeil. Elles ne parlaient qu’au cours de réveils partiels lors du sommeil lent léger. Le contenu verbal pendant le sommeil d’individus sains est moindre en quantité que celui des patients somnambules ou atteints de TCSP, mais qualitativement toutes ces personnes disent la même chose », souligne la professeure Isabelle Arnulf. Le cerveau se parle à lui-même L’essentiel du langage du somniloque consiste en un discours qui s’adresse à un tiers invisible. Il utilise le tu » ou le vous », mais également le nous ». Lorsqu’une personne parle en dormant, tout se passe comme si, en l’absence de réel interlocuteur puisque celui-ci est dans sa tête, le cerveau se parle à lui-même. On hallucine la réponse verbale de l’autre dans nos rêves. Quand on parle en dormant, il y a un dialogue avec l’autre, contrairement au langage intérieur qui, lui, n’est que monologue », fait remarquer la neurologue spécialiste du sommeil. Au total, les auteurs ont analysé 703 phrases comportant ou non un verbe. L’accord était correct entre le sujet et le verbe, de même qu’entre l’article et le mot. Comme le langage de l’éveil, le langage nocturne respecte la syntaxe, la sémantique et la pause entre les échanges verbaux, ce qui montre que le fonctionnement du cerveau d’une personne qui parle dans son sommeil est d’un haut niveau », déclare lsabelle Arnulf. Pour conclure, voici sans doute la phrase la plus drôle prononcée dans son sommeil par un participant de l’étude On n’a plus le droit de dormir alors ? ». Le comble pour un parleur nocturne ! Marc Gozlan Suivez-moi sur Twitter, sur Facebook Pour en savoir plus Arnulf I, Uguccioni G, Gay F, Baldayrou E, Golmard JL, Gayraud F, Devevey A. What does the sleeping brain say? Syntax and semantics of sleep talking in healthy subjects and in parasomnia patients. Sleep. 2017 Oct 5. doi Bjorvatn B, Grønli J, Pallesen S. Prevalence of different parasomnias in the general population. Sleep Med. 2010 Dec;11101031-4. doi Hublin C, Kaprio J, Partinen M, Koskenvu M. Parasomnias co-occurrence and genetics. Psychiatr Genet. 2001 Jun;11265-70. PMID 11525419 Hublin C, Kaprio J, Partinen M, Koskenvuo M. Sleeptalking in twins epidemiology and psychiatric comorbidity. Behav Genet. 1998 Jul;284289-98. PMID 9803021 Laroche-Bouvy D. Les pauses et les silences dans l’interaction verbale. Lang Soc. 1984;2927-37. Les mots français les plus utilisés Langues FLE Campus Education Media A LIRE aussi Tout le monde rêve, même ceux qui disent ne jamais rêver
Quand j'ouvre les yeux le matin, il faut bien reprendre contact avec la réalité. Quelle heure peut-il être ? Je regarde si la lumière du jour filtre à travers les volets. Est-ce que les voitures ont déjà repris leur vrombissement sur la grande route en contrebas ? Et le Nini, est-il encore lové bien au chaud de son côté du lit ?J'essaie d'attraper le petit réveil sur la table de chevet sans le faire tomber sous le lit !, il me renseignera à coup sûr. S'il est plus de 6 heures, ça va, je peux me lever. S'il est plus tôt, faut pas déconner, je traine encore un peu sous la couette. Descendue dans la grande pièce à vivre, je jette le premier regard par la fenêtre, puis je vais me faire un café. Double, le café, dans une grande tasse, ça m'évite de devoir y retourner une deuxième fois. Pourvue de mon breuvage énergisant, je me connecte au grand internet. Pas de sites d'infos, non non non, les horreurs et chagrins qui frappent l'humanité finiront bien par me parvenir d'une manière ou d'une autre, pas besoin d'aller à leur rencontre. Les derniers billets et commentaires de mes blogocops, je les préfère aux nouvelles du monde. Pour le projet de Ma' semaine 41 - matin
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